Cécile Vannier, à jamais dans nos consciences

à 16 h à une rencontre u petit théâtre Naldini (55 rue Paul vaillant Couturier)

“pour partager vos mots, un poème, un texte, une chanson, un dessin, un morceau de musique en mémoire de Cécile”.

– à 17h30, à un hommage e au Parc de la Planchette autour du buste de Cécile 

” avec vos mots, vos pensées, en lumière et en musique

suivi à 18 h30 d’un pot de l’amitié dans le pavillon des fêtes tout proche..

A noter que le mercredi 11 mars, nouvelle date de la “journée nationale en hommage aux victimes du terrorisme” une plaque commémorative sera posée au Lycée Léonard de Vinci de Levallois, en mémoire de Cécile qui y était élève.
La cérémonie débutera à 9h dans l’amphithéâtre du lycée qui sera rebaptisé  “amphithéâtre Cécile Vannier”.
Les élèves du Lycée se sont réellement investis, notamment en arts plastique et en musique.

Les anciens élèves du Lycée Léonard de Vinci, victimes de l’attentat du Caire, ou anciens camarades de classe ou du Lycée de Cécile, seront présents.

La médaille de reconnaissance aux victimes du terrorisme  pourrait  être remise à Cécile à titre posthume lors de cette cérémonie.

Nouveau rassemblement Pashtun à Paris samedi 8 février à 14 h

Le MPCT reste solidaire du mouvement de soutien aux Pashtuns, victimes de la répression féroce du régime pakistanais. 

Le  PTM , mouvement de protection des Pashtuns, appelle à un nouveau rassemblement pour exiger la libération de leur dirigeant  Manzoor Pashteen, ce samedi 8 février à 14 h, aux abords devant l’Ambassade du Pakistan,  rue Lord Byron. A

Manzoor Pashteen , défenseur des droits humains, président du PTM, a été brutalement arrêté à Peshawar le 27 janvier.

 

Le MPCT  associe le soutien à Junaid Hafeez, condamné à mort par le régime de la République Islamique du Pakistan au nom de l’inique Loi du Blasphème en décembre dernier.

 

 

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Rassemblement parisien de soutien aux Pashtuns samedi 1 er février à 16 h

Le MPCT est solidaire du rassemblement de soutien aux Pashtuns, victimes de la répression féroce du régime pakistanais : samedi 1er février à Paris, Trocadéro, Parvis des DH, à partir de 16 h.

Libérez Manzoor Pashteen !

Manzoor Pashteen , défenseur des droits humains, président du PTM, mouvement de protection des Pashtouns, a été brutalement arrêté à Pesawar le 27 janvier.

La coiffe traditionnelle pashtun qu’il arbore est devenue un symbole pour les manifestants et elle fait peur au régime !

Le MPCT  associe le soutien à Junaid Hafzeer, condamné à mort par le régime de la République Islamique du Pakistan au nom de l’inique Loi du Blasphème en décembre dernier.

Alors que son avocat avait  été assassiné, l’annonce du verdict de mort par pendaison de ce jeune universitaire  a été honteusement saluée, acclamée par plusieurs avocats !

 

Communiqué du MPCT : Mila, Zineb, menaces sur la liberté d’expression et la sécurité

En France , nous  sommes  en démocratie.

La condamnation à mort pour blasphème c’est au Pakistan, où l’universitaire Janaid Hafeez vient d’être condamné à la pendaison. Pas en France.

Il n’empêche, la liberté d’expression est bien menacée au pays de Voltaire qui n’est finalement pas trop Charlie.

Une  preuve : Zineb El Rhazoui subit de nouvelles menaces  de mort après son audition au Sénat par la Commission d’Enquête sur la prévention de la déradicalisation islamiste.

Elle a dénoncé la confrérie des Frères Musulmans et n’aurait donc à s’en prendre qu’à son imprudence  lorsque  twitter lui livre en musique :

”  tous à balles réelles sur la p… de Zineb. ça arrive.”

 

Une autre preuve : une adolescente prénommée Mila provoquée par des attaques lesbophobes insulte les religions et l’Islam en particulier. Elle subit un déluge de menaces de mort et de viol.

C’est intolérable … mais le délégué général du Conseil Français du Culte Musulman assène sur Sud Radio  “Elle l’a cherché, elle assume.”

Des mouvements qui prétendent pourtant dénoncer les violences faites aux femmes, férus de “luttes intersectionnelles,” abandonnent  Mila à son triste sort ou bottent en touche.

Certes il y a des prises de position courageuses,comme celles d’Audrey Pulvar et de la Maire du 20 ème Frédérique Calandra  qui a le cran de soutenir  Zineb.

Même Ghaleb Bencheikh, président de la Fondation de l’islam de France  affirme sa  défense de la liberté d’expression.

Mais il y a tant de silences honteux …

Il est alarmant que le Parquet se soit senti obligé de poursuivre la jeune Mila pour “incitation à la haine raciale”.

Elle a insulté les religions et l’Islam en particulier.

Ses propos ont pu offenser les croyants et le bon goût mais le délit de blasphème n’existe pas en France.

Il n’y a aucun fondement à une accusation d’incitation à la haine raciale, c’est inadmissible que des magistrats aient recours  à un délit de blasphème déguisé,  renvoyant dos à dos victime et agresseurs, pour apaiser les esprits de jeunes fanatisés !

Quand le  Rectorat propose d’accompagner la gamine pour lui apprendre le bon usage des réseaux sociaux, de quoi s’agit-il ?

De lui donner le mode d’emploi pour ne pas se faire tuer ou menacer de mort ?

Le terrorisme islamiste a donc le vent en poupe en occident  et les menaces droit de cité.

Au moment où la jeunesse se lève contre le diktat islamique  au Soudan, en Iran, au Liban, au Pakistan et ailleurs, le paradoxe est insupportable.

Nous qui sommes solidaires de Zainab Hafeez, des victimes du terrorisme et des prisonniers de conscience du monde entier, n’entendons pas voir nos libertés piétinées ici-même.

 

Communiqué du MPCT : Janvier 2015, janvier 2020 le terrorisme islamiste continue à meurtrir la France et le monde

Il y a 5 ans la France effarée apprenait le massacre des insolents  de  Charlie Hebdo.

A la mémoire des 12 victimes de Charlie,  de celle de Montrouge, des 4 victimes de l’Hypercacher, il nous faut ajouter celle de tant de victimes du terrorisme islamiste qui ont suivi !

 

Aux tueries de masse se sont ajoutées les attaques meurtrières dites de proximité. Elles sont de même nature,  les secondes se substituant  aux premières , devenues plus difficiles à commettre.

Une nouvelle attaque au couteau a ainsi été commise  ce vendredi  3 janvier à Villejuif.

Le MPCT rend hommage  à Janusz Michalski, mort en protégeant son épouse, et exprime toute sa solidarité à la famille, aux blessées, aux témoins traumatisés.

Villejuif avait déjà été la cible, en 2015, d’une tentative d’attentat sur une église, qui s’était soldée par le meurtre d’Aurélie Chatelain, tuée pour avoir croisé la  route du terroriste.

Le Parquet National Anti Terroriste s’est heureusement saisi de l’enquête sur l’attaque de vendredi mais les premières réactions donnent  à réfléchir :

–  On a, une fois de plus, mis l’accent sur les problèmes psychiatriques de l’assassin. Or c’est la  nature  objective de l’acte qui doit permettre de le qualifier : quand un individu armé d’un couteau attaque des gens au cri  d’Allah Akbar, il s’agit de terrorisme.

–  Le Président de la République comme le Maire de Villejuif ont condamné une violence “aveugle”.  Or celle-ci a été sélective et non aveugle, l’assaillant  épargnant un homme parce qu’il était musulman et a su réciter une prière en arabe.

Nous partageons le souci d’éviter amalgame et stigmatisation, mais le peuple de France  a su montrer sa capacité de résilience, son  refus de sombrer dans une haine vengeresse.

Que les pouvoirs publics lui fassent confiance au et n’aient plus peur de nommer le mal !

La tendance au déni et à la déresponsabilisation des terroristes devient chaque jour plus insupportable, alors que se multiplient  attaques et tentatives d’attaques au couteau.

La décision par la Cour d’appel de Paris de considérer l’assassin de Sarah Halimi pénalement irresponsable, au nom d’une supposée abolition du discernement  liée à la consommation de stupéfiants, soulève une indignation de plus en plus large.

Elle semble en effet signifier que la société est désormais impuissante face au terrorisme, à la violence criminelle et l’antisémitisme, comme si cela faisait partie de l’ordre naturel des choses.

Un tel renoncement est inacceptable !

Aidons la société à se mobiliser plus encore  pour ne pas abdiquer face  aux terroristes.

 

[Crédit photos : Charlie Hebdo, 94 Citoyens]

 

Communiqué du MPCT : Sarah Halimi, quelle justice, quel respect des droits humains ?

Jeudi 19 décembre, la Cour d’Appel  de Pais a déclaré pénalement irresponsable l’assassin de Sarah Halimi. Le discernement de l’accusé aurait été aboli à la suite de la consommation de stupéfiants.

 

L’assassin tortionnaire échappe donc à la justice, alors que le Parquet de Paris avait demandé en juin dernier le renvoi de Kobili Traoré devant la cour d’assises pour meurtre à caractère antisémite.

 

Si  l’on ne commente pas la chose jugée, il doit être permis de commenter la chose non jugée !

 

Comment les proches de la victime d’un crime barbare pourraient-ils accepter l’absence de procès ?

 

Si, au lieu de subir un indicible calvaire avant d’être défenestrée dans la nuit du 3 au 4 avril 2017, Sarah Halimi avait été victime d’un chauffard drogué, l’auteur de l’accident aurait été poursuivi pour homicide, avec la circonstance aggravante de consommation de stupéfiants.

 

En vérité, le martyre de Madame Halimi semble voué depuis le début à rester dans une sorte de  vide, trou noir sociétal, politique et judiciaire.

 

1 – La victime était juive, son meurtrier musulman fréquentait la mosquée Omar, réputée salafiste. Il a ponctué son attaque de cris “Allah Akbar”, récité des sourates du Coran et affirmé avoir tué le sheitan (Satan en arabe.)

On était alors en pleine campagne électorale et le consensus du silence politico-médiatique a prévalu “pour ne pas faire le jeu de…”

 

2 – Parce que la police appelée sur place estima être confrontée à un terroriste islamiste, elle demanda le renfort d’un brigade spécialisée, laquelle tarda à arriver.

Pendant la mise à mort de la malheureuse, les forces de sécurité ne sont donc pas intervenues.

 

3 – Bien que l’accusé n’ait pas eu d’antécédents psychiatriques mais de nombreuses condamnations pour délinquance et violence, c’est sa seule consommation de cannabis (pourtant habituelle chez lui) responsable d’un bouffée délirante aigüe qui fut retenue par la juge d’instruction, écartant ainsi les circonstances aggravantes de torture, actes de barbarie et antisémitisme. Fait rare dans les affaires de meurtre, elle s’opposa à organiser une reconstitution.

Sur l’abolition du discernement, il n’y a pas consensus des experts psychiatres, le premier ayant conclu à une simple altération.

 

4 – En tout état de cause, la prise de cannabis responsable d’une bouffée délirante n’aurait pu induire un assassinat spécifiquement antisémite si Traoré n’avait été imbibé du discours de haine de l’idéologie islamiste.

Qui jugera les prêcheurs de haine ?

 

5 – Les mesures de sureté dont la Cour d’Appel a assorti sa décision semblent dérisoires, rendant la récidive très possible. Elle a aussi ordonné une “hospitalisation complète” mais l’hôpital ne peut constituer une alternative à la prison pour un individu dont les médecins estiment aujourd’hui qu’il va bien.

 

 Les avocats des parties civiles qui dénoncent une décision scandaleuse  vont se pourvoir en cassation.

Ils peuvent s’appuyer sur un précédent : un arrêt de la cour d’appel de Dijon, validé en cassation, affirme qu’en l’absence de consensus des experts et de certitude quant à l’abolition du discernement, il ne saurait y avoir de non-lieu.

 

L’enjeu est capital : il ne doit pas y avoir de “Jurisprudence Sarah Halimi” assurant l’impunité  à des assassins pour peu qu’ils aient consommé des substances illicites !

Paris le 23 décembre 2019

Urgence Iran : un appel pressant au Président Macron et au Ministre Le Drian

5 responsables associatives, partenaires du Collectif Contre le Terrorisme, soutenues par Mahnaz Shirali, spécialiste de l’Iran, écrivent au Président de la République et au Ministre des Affaires Etrangères pour les alerter sur la situation en Iran

Elles rappellent la répression à laquelle la population iranienne résiste depuis des années, le refus des Iraniennes du port obligatoire du voile islamique, en dépit des arrestations, des lourdes condamnations, des tortures et des assassinats.
Elles s’indignent de la violence extrême avec laquelle le régime islamique réprime les manifestations populaires massives depuis près d’un mois, les forces de sécurité tirant à balles réelles sur des manifestants désarmés, faisant plusieurs centaines de morts.Elles saluent les familles des victimes qui refusent de se taire malgré pressions et menaces.Elles s’élèvent contre les milliers d’arrestations.
Elles lancent l’alerte :

“On peut redouter des massacres à plus grande échelle puisque dans un prêche diffusé par la télévision du régime, une fatwa a été lancée contre les manifestants qualifiées d’ennemis d’Allah”.

Elles interpellent le Président de la République et le Ministre des Affaires Etrangères en ces termes :

“Face à cette situation la France ne peut se contenter d’exprimer sa préoccupation.Elle doit condamner avec force !Elle doit intervenir au Conseil de Sécurité de l’ONU.
Elle doit mobiliser l’Union Européenne sur ce dossier urgent.”

Elles demandent la convocation de l’Ambassadeur de la République Islamique d’Iran au Quai d’Orsay et concluent:

“La France ne saurait considérer que “charbonnier est maître chez lui” sans renoncer à sa vocation de patrie des droits humains.Si elle ne faisait pas entendre sa voix pour défendre la population iranienne, alors qu’elle a aidé le régime de Téhéran à contourner les sanctions américaines, son silence apparaîtrait comme complice. “

Les co-signataires :

Béatrice Szwec, présidente du Mouvement Pour la Paix et Contre le Terrorisme

Diagne Chnael, présidente du Comité Soudan

Annie Sugier, présidente de la Ligue du Droit International des Femmes

Laure Caille, présidente des Libres MarianneS

Huguette Chomski Magnis, coordinatrice du Collectif Contre le Terrorisme

Mahnaz Shirali sera l’invitée de l’émission C’est politique dimanche 15 décembre à partir de 19 heures, sur France 5.

Crédit Photo LCI :Sahar Khodayarin, “Blue Girl,” la fan de football qui s’est immolée en septembre; morte pour échapper à la prison.

 

 

Sarah Halimi : compte-rendu de l’audience du 27 novembre 2019

Abolition du discernement sans renvoi en cour d’Assises ou altération du discernement avec renvoi en cours d’Assises, tel était l’objet des débats de ce 27 novembre, devant la Chambre d’Instruction de la Cour d’Appel de Paris, en présence de l’assassin de Sarah Halimi  dans une cage de verre et sous protection policière.
Il a déjà 20 condamnations à son actif et pas d’antécédents psychiatriques.
Une audience lourde et intense avec les avis de sept experts psychiatriques qui ont rendu trois expertises. Le Dr Zagury concluant à l’altération du discernement, les deux autres collèges de trois experts chacun concluant à son abolition.
Le récit de la nuit du 3 au 4 avril où l’assassin sonne à la porte du voisin de Sarah Halimi à 4h du matin en disant c’est moi Kobili, à ce balcon enjambé pour se retrouver dans le salon de Sarah Halimi, mais le prévenu déclare qu’à ce moment il ignorait où il se trouvait.
La vue du chandelier et de la Torah qu’il identifie comme objets de culte juif l’oppresse. Il fait du bruit, Sarah Halimi se réveille, il lui demande d’appeler la police mais, dit-il, elle ne donne pas le bon numéro de la rue. Il s’énerve et frappe avec “un acharnement bestial” accompagné d’insultes et de Allah ouakbar dira un voisin réveillé par les gémissements de souffrance.
La police arrivée rapidement sur les lieux n’interviendra qu’après la défenestration de Sarah Halimi, jetée du balcon encore en vie mais vraisemblablement inconsciente. Pourquoi n’y a-t-il pas eu d’intervention plus rapide, cette question ne fut pas abordée.
Les experts parlent d’une bouffée délirante aigüe avec origine exototique, liée à une consommation importante de cannabis, jusqu’à dix joints par jours durant près de quatorze ans. Fut elle de nature suffisante à abolir tout discernement ?
Les avocats des enfants et du frère de Sarah Halimi invoqueront la prise volontaire de cannabis et le risque d’une ” jurisprudence Sarah Halimi” avec la constitution d’un Manuel d’Irresponsabilité pénale où la prise de cannabis serait une circonstance déresponsabilisante.
L’avocat de la défense rejoint l’avocat général qui penche vers l’abolition du discernement avec néanmoins la circonstance aggravante liée à l’appartenance à une race ou une croyance. Les contacts avec la mosquée d’Omar, connue pour la virulence de ses prêches où le prévenu se rendait quotidiennement et notamment la veille des faits durant plusieurs heures sont considérés comme négligeables et non pertinents: il n’y aurait pas d’antisémitisme avéré chez le prévenu.
Débats sur les limites de la psychiatrie, sur la complexité de la matière humaine, sur une instruction quelque peu contestée, le délibéré est prévu le 19 décembre, la veille des Fêtes.
Après la non-intervention de la police, le silence médiatique, l’absence de procès risque une nouvelle fois d’accompagner Sarah Halimi, dont le nom serait alors attaché à une nouvelle affaire honteuse dont une femme juive serait la victime.
Correspondant MPCT au Palais de Justice.

Conférence-débat “Génocides en terre d’Afrique” jeudi 28 novembre 2019

Conférence-Débat organisée par le MPCT avec la LICRA Val de Marne, le Collectif des Parties Civiles pour le Rwanda et le Collectif Urgence Darfour

Dans le cadre de la “Quinzaine de la Solidarité Internationale de Fontenay-sous-Bois, une ville qui a beaucoup soutenu les réfugiés du Darfour puis du Sud Kordofan et du Nil Bleu.

“Namibie, Rwanda, Soudan, Génocides en terre d’Afrique”

 
  Jeudi 28 novembre à 19 h
 
Maison du citoyen et de la vie associative

16, rue du RP Lucien Aubry

94120 Fontenay-sous-Bois

 
Sous la présidence de David Gakunzi,Tutsi du Burundi, journaliste, écrivain, Directeur du Paris Global Forum.
Françoise Loeb, pour la LICRA Val de Marne, traitera du premier génocide du 20 ème siècle, perpétré  par le IIème Reich allemand contre les Hereros et les Namas en Namibie.
 
Dafroza et Alain Gauthier, fondateurs du Collectif des Parties Civiles pour le Rwanda, reviendront sur le génocide des Tutsi et présenteront leur intense activité juridique.
Jacky Mamou, Président du Collectif Urgence Darfour, traitera du génocide du Darfour, de la lutte contre l’impunité et des espoirs nés de la révolution soudanaise.