Boualem Sansal doit être libéré : plein soutien à la soirée du 16 décembre

Notre association, le Mouvement Pour la Paix et Contre le Terrorisme, s’associe et appelle à participer à la soirée organisée le 16 décembre au Théâtre Libre, à l’initiative du Comité de Soutien à Boualem Sansal, présidé par la fille d’Albert Camus.

Le transfert de Boualem Sansal dans une prison éloignée d’Alger, le refus de laisser entrer son avocat français, Maître François Zimeray, en Algérie sont de nouvelles provocations insupportables.

L’attitude d’Amnesty International qui a osé communiquer “ne pas avoir été en mesure de vérifier de façon indépendante les éléments relatifs à l’arrestation de l’écrivain franco-algérien”, celle d’une Sandrine Rousseau qui assortit sa vague demande de libération d’un mais des plus perfides contre Boualem Sansal, pas un ange, d’extrême-droite, sont emblématiques de l’abandon de cet immense écrivain humaniste et courageux, par une partie des ONG, politiques et célébrités.

Heureusement, tant d’autres, de toutes sensibilités, ont su s’engager pour lui et continuent à le faire !

Le temps presse pour Boualem Sansal, malade et âgé. Sa détention qui n’aurait jamais dû se produire, doit cesser immédiatement !

L’audience en appel qui doit se tenir ce mercredi 11 décembre ne peut avoir qu’une seule issue juste : sa remise en liberté !

POUR SIGNER L’APPEL DU COMITE DES SOUTIEN :
comite.soutien.boualem.sansal@gmail.com

Communiqué du Collectif Contre le Terrorisme : solidarité avec Fadila Maaroufi

Communiqué commun

Nous avons salué l’attribution du Prix International de la Laïcité du Comité Laïcité République à Fadila Maaroufi, anthropologue, co-fondatrice de l’Observatoire des Fondamentalismes et du Café Laïque de Bruxelles.

Militante laïque, elle alerte sur l’ampleur de l’offensive islamiste en Belgique, dénonce les lâchetés et combat l’antisémitisme.

Le 7 novembre, lors de la belle soirée organisée à l’Hôtel de Ville de Paris pour la remise des Prix, elle a prononcé un discours lucide et courageux.
Pour en avoir diffusé le texte, elle est menacée de mort.

Nous nous associons au communiqué de soutien à Fadila Maaroufi publié par le Comité Laïcité République.

Les autorités belges ont le devoir de lui assurer une protection immédiate.

Les menaces de mort et autres fatwas doivent toujours être prises très au sérieux, l’expérience ne l’a que trop prouvé depuis des décennies.

Nous, société civile, avons le devoir de nous mobiliser pour apporter à Fadila Maaroufi une solidarité inconditionnelle.

Face au terrorisme islamiste, nous ne devons ni céder ni nous diviser.

“Le terrorisme ne doit pas nous terroriser. La violence ne doit pas nous dissuader. La lutte continue.”

Salman Rushdie
Paris, le 17 novembre 2024
Associations signataires

Mouvement Pour la Paix et Contre le Terrorisme
Ligue du Droit International des Femmes
Réseau féministe « Ruptures »
Libres MarianneS
Regards de Femmes
Comité Soudan
Sassoun
PEREC (Pour une école républicaine et citoyenne)
AMLZ Association Marianne Lehman Zaoui
#Réseau 1905
Vigilance Travail Social
Mères pour la Paix

Communiqué : le MPCT va entamer une procédure contre l’ONU


Le MPCT va entamer une procédure contre l’ONU
-pour discrimination en raison de la nationalité et de la religion
-pour apologie du terrorisme

Le MPCT, Mouvement Pour la Paix et Contre le Terrorisme, apporte depuis plus de vingt ans son soutien aux victimes du terrorisme et se bat pour la reconnaissance de leurs droits.

La « Journée Internationale de Souvenir et d’Hommage aux Victimes du Terrorisme » de l’ONU, le 21 août, a suscité notre indignation sa décision de passer sous silence les victimes israéliennes de l’attaque terroriste islamiste massive du 7 octobre !

Différents panneaux dans le hall d’entrée de l’ONU à New York présentent au visiteur une sélection de victimes du terrorisme. Nulle référence au terrorisme subi par Israël depuis des décennies et en particulier le 7 octobre n’y est faite.
L’argument selon lequel cette exposition avait été validée en 2022, sans mise à jour depuis, est irrecevable.

Il y a bien eu la volonté d’effacer les victimes israéliennes – et la responsabilité des terroristes islamistes se réclamant de la cause palestinienne, qui se sont déchaînés contre elles de la façon la plus barbare.

C’est la suite d’une longue stratégie de diabolisation et de délégitimation poursuivie par l’ONU.
Année après année, Israël, très petit état et unique état juif, y est condamné par plus de résolutions que tous les autres états du monde. Les conséquences ne sont pas anodines : ce tir de barrages de résolutions fait des dégâts en termes d’antisémitisme et de promotion du terrorisme dans le monde.

L’ONU, aujourd’hui composée à 68% de pays non démocratiques, a démontré son incapacité à contrôler l’UNRWA qui a plus que failli, avec des structures logistiques utilisées par les terroristes, ses employés ayant participé directement au pogrom du 7 octobre et son absence totale de contrôle des subventions internationales. Celles-ci ont servi à enrichir les leaders du Hamas et à construire des tunnels destinés à tuer le plus de Juifs possible.

Les dirigeants de l’ONU portent une responsabilité et doivent l’assumer.

En condamnant systématiquement Israël, seul état démocratique de la région, en banalisant les atrocités commises par les terroristes du Hamas, l’ONU crée un contexte de discrimination à l’encontre du seul état juif.

D’autre part, en ne condamnant pas et en oblitérant les crimes perpétrés contre des civils israéliens le 7 octobre, mais également antérieurement, selon une stratégie élaborée par les terroristes sur plusieurs mois et années, l’ONU manifeste un parti pris de soutien et d’apologie du terrorisme.

Toutes choses réprimées par la loi.

C’est pourquoi le MPCT va déposer plainte contre l’ONU, hélas devenue garante de l’exclusion d’Israël et de la légitimation du terrorisme.

Antonio Guterres, Secrétaire Général et Francesca Albanese, Rapporteure Spéciale, devront répondre de leurs responsabilités respectives.

Des victimes du terrorisme et/ou de l’antisémitisme, des associations de défense de ces victimes, pourront se joindre à cette plainte.

Depuis des années nous dénonçons les dérives de l’ONU. Il est temps de les sanctionner.

Paris, le 23 août 2024

Communiqué du MPCT : 21 août 2024, non à l’effacement des victimes israéliennes du terrorisme

Alors que la « Journée Internationale » du 21 août est censée rendre hommage à toutes les victimes du terrorisme, le MPCT s’indigne de la décision de l’ONU d’en exclure les victimes israéliennes, fauchées depuis de longues années par le terrorisme islamiste.


Après le 7 octobre, ils ont osé l’inacceptable !

Pas une des victimes de cet acte terroriste de masse, véritable crime contre l’humanité à visée génocidaire, ne figure dans l’exposition que l’ONU consacre aux victimes du terrorisme.

Victimes indésirables, victimes déshumanisées, victimes effacées !

Nous approchons de la première année du plus grand massacre de Juifs commis depuis la seconde guerre mondiale.
Des petits enfants ont été enlevés.
Des otages, vivants et morts, sont encore détenus par le Hamas depuis plus de 300 jours.
Les corps de six d’entre eux viennent d’être récupérés à Gaza par des soldats israéliens dans les tunnels de la mort.

L’ONU a donc choisi d’exclure les hommes, femmes et enfants israéliens assassinés dans les cafés, restaurants, transports en communs, dans les kibboutz, dans leurs propres maisons, au nom de l’idéologie islamiste mortifère.

Cette décision s’inscrit dans une logique de quasi-retournement victimaire à l’oeuvre depuis le 7 octobre : Israël, coupable systémique et systématique, n’aurait eu que ce qu’il méritait.

Une monstrueuse organisation terroriste comme le Hamas est légitimée de fait et sa propagande est relayée.
Tout comme son principal sponsor, le régime assassin des mollahs de Téhéran, elle bénéficie d’une complaisance coupable.

La Société des Nations de l’entre-deux-guerres n’a pas su ou pas voulu empêcher la montée en puissance du fascisme et du nazisme.

Plus de 80 ans après, en ostracisant les victimes israéliennes, l’ONU enterre les droits humains, l’universalisme et toutes les valeurs de sa Charte fondatrice.

Impuissante à endiguer le terrorisme islamiste, elle s’en fait complice.

S’unir pour résister à cette trahison, fonder une véritable alliance internationale contre le terrorisme n’est-il pas crucial pour l’humanité tout entière ?

Communiqué du MPCT : JO, l’ignoble appel de LFI au boycott d’Israël


Affichés sur nos murs, braillés dans nos rues, les appels au boycott des athlètes israéliens aux J.O. nous révulsent. Ils prolongent la campagne haineuse menée depuis des mois, soutien objectif au terrorisme islamiste déchaîné contre Israël, encouragement aux agressions antisémites en France et dans le monde.

Relayés par des députés, ces appels entachent la représentation nationale.

Contraires à la Charte Olympique selon laquelle « aucune sorte de démonstration ou de propagande politique, religieuse ou raciale n’est autorisée dans un lieu, site ou autre emplacement olympique », ils doivent être combattus par toute la société civile.

Ils sont clairement discriminatoires, visant la seule délégation israélienne.
La participation de pays aux bilans effroyables en matière de droits humains n’est pas mise en cause. Les délégations d’Afghanistan, de Chine, de Corée du Nord, d’Iran, du Pakistan, du Soudan, de Turquie, pour ne citer qu’elles, sont toutes les bienvenues.

Ces appels visent les sportifs d’un pays contraint de combattre des attaques terroristes sur plusieurs fronts, à protéger sa population atrocement meurtrie le 7 octobre et dont une partie est toujours otage du Hamas à Gaza.

Le précédent des JO de Munich de 1972 où onze athlètes israéliens ont été assassinés par des terroristes palestiniens est dans nos consciences.

Gérard Darmanin a raison : accuser la délégation israélienne, vouloir l’exclure, c’est bien « mettre une cible dans le dos » de ces athlètes, alors que la menace terroriste islamiste est très élevée globalement, pour la France et pour les JO.

Proposer que les athlètes israéliens ne soient autorisés à participer aux JO que sous bannière neutre, comme les athlètes russes, est inadmissible. La Russie n’est pas menacée dans son existence, Israël l’est.

Interdire son drapeau aux JO tandis qu’une délégation palestinienne défilerait derrière ses couleurs signerait la victoire politique et symbolique des terroristes palestiniens de Munich !

Au nom de la solidarité dans la lutte contre le terrorisme, au nom des valeurs olympiques, nous souhaitons la bienvenue à la délégation israélienne.

Paris, le 23 juillet 2024

Amnesty International champion de l’inversion des valeurs

            Il y a hélas longtemps qu’Amnesty International bafoue les valeurs qui ont présidé à sa création.
Le rapport que l’ONG vient de commettre est dans le droit fil de son compromis avec l’islamisme.
Accuser la France de discrimination envers les sportives musulmanes est profondément injuste. C’est une calomnie qui conforte l’offensive de l’islam politique dont le voile imposé aux femmes est un marqueur-clé.
Désigner notre pays comme ennemi des Musulmanes, c’est prendre une lourde responsabilité. Nous savons hélas que ce type d’accusations peut inspirer des passages à l’acte terroristes.

Le MPCT est cosignataire du communiqué commun adopté à l’initiative de la LDIF en réponse au rapport d’Amnesty International

Communiqué commun à l’initiative de la   LIGUE DU DROIT INTERNATIONAL DES FEMMES,

LES CITADELLES, LIBRES MARIANNES,  NOROUZ, MOUVEMENT POUR LA PAIX ET CONTRE LE TERRORISME, REGARDS DE FEMMES, THIS IS A REVOLUTION, TRIBUNE AZAD IRAN LAIQUE, LIGUE DU DROIT INTERNATIONAL DES FEMMES

 

Respecter la charte Olympique et les sportives serait du racisme selon Amnesty International ?

Le 16 juillet, Amnesty International a rendu public un rapport de 30 pages intitulé « ON NE RESPIRE PLUS. MEME LE SPORT ON NE PEUT PLUS LE FAIRE » avec comme sous-titre :« les atteintes aux droits humains des femmes et des filles musulmanes causées par l’interdiction du foulard dans le sport en France ». La raison principale de la colère d’AI : l’annonce par la ministre française des sports et des Jeux olympiques, en septembre 2023 sur France 3, que « les représentantes de nos délégations dans nos équipes de France, ne porteront pas le voile ». AI qualifie cette interdiction de « violation par la France de la Charte Olympique ».


Violation de la Charte, vraiment ?

Pourtant la règle 50.2 affirme bien qu’ « aucune sorte de démonstration ou de propagande politique, religieuse ou raciale n’est autorisée dans un lieu, site ou autre emplacement olympique ».

Pourtant le guide publié par le CIO sur la liberté d’expression des athlètes aux Jeux de Paris 2024 [1] cite explicitement la règle 50.2 ,  affirmant le caractère « fondamental de l’obligation de neutralité et de la nécessaire séparation du sport de toute interférence politique, religieuse ou d’un autre ordre » tout en précisant les moments où les athlètes peuvent s’exprimer ( conférence de presse, réseaux sociaux, interviews, mais surtout pas le moment des performances et des cérémonies).

Quant à considérer que l’interdiction faite aux athlètes femmes de porter le hijab est discriminatoire, c’est au contraire le fait d’admettre cette possibilité qui le serait. En effet le CIO dans son rapport « Gender Equality Review project »,[2] recommande que les uniformes des athlètes correspondent aux seuls critères sportifs et non pas à des différences injustifiables ».

Enfin, prétendre que l’interdiction du signe ségrégatif emblématique imposé par les théocraties islamistes, y compris sur le stade, porterait « atteinte aux droits humains des femmes et des filles musulmanes » est une essentialisation inacceptable et une insulte à toutes celles qui luttent, souvent au péril de leur vie, pour refuser cet apartheid

AI n’a raison que sur un point : la France est bien seule ! Mais ce qu’AI ne veut pas reconnaitre c’est que la position de la France est conforme aux véritables valeurs olympiques.

Paris, le 17 juillet 2024

                                               Site LDIF : www.ldif.asso.fr,
                                
[1] https://olympics.com/athlete365/app/uploads/2024/01/2023.12.01.-OC-Athlete-expression-guidelines-amendment-EN.pdf

[2] https://olympics.com/athlete365/app/uploads/2021/02/IOC-Gender-Equality-Report-March-2018_ENG-1.pdf               

Photo Marie-Hélène Le Ny : Rassemblement du 23 juin organisé par le Comité Paris 2024 pour le respect de la Charte Olympique
                                                            

Communiqué du MPCT :   Viol mode 7 octobre d’une enfant juive

 

On l’a appris avec effroi : samedi à Courbevoie une enfant juive de 12 ans a subi séquestration, viol, injures, violences antisémites et menaces de mort.

Il faut d’abord penser au traumatisme vécu par cette enfant et sa famille et leur exprimer notre solidarité.

Il faut aussi saluer l’interpellation rapide de ses tortionnaires, à peine plus âgés qu’elle, qui devront répondre de l’ignominie de leurs actes par des sanctions enfin exemplaires.

Condamner unanimement cette atrocité est nécessaire mais insuffisant.  

C’est bien parce qu’elle est juive qu’elle a subi ce calvaire.

Comme d’habitude ses agresseurs ont brandi « la Palestine » en guise de permis de meurtrir et violer.

Un tel acte est bien dans la lignée du 7 octobre, de la justification des violences sexuelles et de tous les crimes du Hamas qualifiés d’actes de résistance, de l’embrigadement des enfants auxquels est inculquée la haine des Juifs.

Par leur indifférence au sort des victimes israéliennes, par leur relais de la propagande du Hamas, par leur diabolisation d’Israël à coups d’accusations de génocide et de famine imaginaires à Gaza, les prêcheurs de haine soi-disant défenseurs des Palestiniens en portent la responsabilité.

Ils doivent en répondre.

Paris, le 19 juin 2024

Avec le soutien de :

Ligue du Droit International des Femmes – Comité Soudan – Observatoire Européen des Fondamentalismes- Viv(r)e la République – ACTISCE, Association d’Education Populaire  – Centre Simon Wiesenthal -Europe – Sassoun – AMLZ, Solidarité avec les victimes du terrorisme palestinien en mémoire de Marianne Myriam Lehmann – Café Laïque Paris – Bruxelles – Alliance Internationale des Femmes – Association des Femmes de l’Europe Méridionale – EGALE – Langage de Femmes …

Paris 23 juin 2024 : marche pour le respect de la Charte Olympique en soutien aux Iraniennes et aux Afghanes

Plus que jamais, le MPCT, engagé dans le Collectif Paris 2024, appelle à participer à la marche du 23 juin en soutien aux Iraniennes et aux Afghanes !


Alors que la France est plongée dans une folle tourmente, défendre la Charte Olympique contre les renoncements du CIO, refuser que mollahs et talibans imposent leur loi aux Jeux Olympiques de Paris est une nécessité absolue.


Plus que jamais, défendre les droits des Iraniennes et des Afghanes, discriminées, persécutées, emprisonnées mais toujours en résistance contre les régimes islamiques, est un devoir.

Soyons au rendez-vous de ce parcours de la flamme

dimanche 23 juin à 14 h 30 Place de la Bastille – côté Bd Richard Lenoir

départ du cortège vers la République à 15 h

avec les magnifiques sportives afghanes que sont Shoukria Haidar, Friba Rezayee et Marzieh Hamidi et avec le concours de Mahyar Monshipour Kermani, champion de boxe né en Iran, rigoureux Conseiller sportif du Ministère de la Jeunesse et des Sports.

Ci-dessous le communiqué du Collectif Paris 2024.

Annie Sugier et Soukria Haidar, torche en main,  à Marseillederrière la banderole du Collectif Paris 2024.

 

Une équipe de Paris 2024 devant  la Statue de la Liberté du Jardin du Luxembourg avec une jeune Iranienne solidaire de la résistance des femmes en Iran. (NB Photo-montage, le déploiement d’une banderole étant interdit en ce lieu.)

Communiqué

LE COLLECTIF PARIS 2024 ORGANISE UN « PARCOURS DE LA FLAMME »
SYMBOLIQUE POUR UN STRICT RESPECT DE LA CHARTE OLYMPIQUE (règle
50.22) EN SOLIDARITE AVEC LES IRANIENNES ET LES AFGHANES !

Cette action aura lieu de la Bastille à la République, dimanche 23 juin à 15h.

Outre la solidarité avec les Iraniennes et les Afghanes en proie à une dictature
religieuse les privant de tout droit, ce rassemblement a pour objet :

• de rappeler au CIO que son premier devoir est d’exiger le respect de la Charte Olympique.
Or, celle-ci pose le principe qu’aucune expression politique, religieuse ou raciale, ne
saurait être compatible avec l’esprit olympique (art.50-2) et avoir de place aux JO. Force
est de constater l’aveuglement volontaire du CIO devant la multiplication des habits à
connotation politico-religieuse affublant les rares athlètes féminines issues des
théocraties islamistes.

• de rappeler aux organes des Nations-Unies l’urgence d’étendre la Convention de 1973
qualifiant de crime contre l’humanité l’apartheid racial tel qu’il avait été institué en Afrique
du Sud, au cas de l’apartheid entre les sexes, imposant aux femmes un statut
d’infériorité et leur invisibilité dans l’espace public.

Contacts : 06 38 39 42 92/ et 0695282737
……………………………………………………………………………………………
Le COLLECTIF PARIS 2024, a été créé à l’initiative de la Ligue du Droit International des Femmes, lors du lancement de la candidature de Paris pour les Jeux Olympiques et
Paralympiques de 2024.
Le COLLECTIF PARIS 2024 s’appuie sur des réseaux d’associations au niveau national et international : Le Lobby Européen des Femmes (LEF) comprenant 32 coordinations nationales et 17 organisations européennes ;Le Front Féministe international
(FFI) comptant 413 organisations et réseaux dans 7 pays
Des associations et obédiences du Collectif Laïque National (CLN).
Ainsi que des associations œuvrant pour le respect des droits humains, en Afghanistan et en Iran :
Ligue des Femmes Iraniennes, MPCT- Mouvement pour la Paix et contre le Terrorisme ; NEGAR -Soutien aux femmes d’Afghanistan ; NOROUZ – Association pour une nouvelle ère en Iran ; Tribune Azad Iran Libre et Laïque ; Collectif This is a Revolution

Soutien à l’organisation de la marche :

 

Communiqué du MPCT : La justice internationale en perdition ?

La Déclaration faite le 20 mai par le Procureur de la Cour Pénale Internationales soulève d’énormes questions, politiques, éthiques et juridiques.

Son rapport se donne une apparence d’équilibre puisqu’avant de s’en prendre aux dirigeants israéliens, il énumère les crimes contre l’humanité et crimes de guerre commis en Israël pour lesquels il souhaite poursuivre trois dirigeants du Hamas.

Sa faute est de le faire avec plus de 6 mois de retard !

Les crimes contre l’humanité commis le 7 octobre en Israël étaient patents, documentés par leurs auteurs eux-mêmes et leur visée génocidaire était claire.
Ils justifiaient une auto-saisine immédiate de la CPI.
Il n’en fut rien et les plaintes déposées par 9 familles représentées par Maître Zimeray ont été instruites avec une lenteur extrême.

Cette carence de la CPI et de l’ONU, offrant l’impunité au Hamas, est directement responsable de la guerre qui s’en est suivie à Gaza.

Or, la seconde partie du rapport est consacrée aux crimes contre l’humanité et crimes de guerre dont Israël se serait rendu coupable à Gaza.

Cette juxtaposition est une manœuvre inacceptable.

L’accusation d’attaques intentionnelles menées par l’armée israélienne contre la population civile est infondée, démentie par les faits.

Elle gomme la responsabilité du Hamas et autres groupes armés dans les souffrances de la population civile de Gaza, par le refus de protection, la violence, l’intimidation, la transformation des installations civiles en QG de combattants et de terroristes, le pillage de l’aide humanitaire.

Le titre-même de la Déclaration du Procureur interroge : « dépôt de requêtes aux fins de délivrance de mandats d’arrêt concernant la situation dans l’Etat de Palestine. »

De quel état est-il question ? D’Israël, état juif de Palestine ? De l’état arabe de Palestine mort-né, dont la création fut refusée en 1947 par la Ligue Arabe ? De la fiction onusienne, adoubée par la CPI, d’un nébuleux état de Palestine que beaucoup souhaitent voir aller « de la mer au Jourdain » ?

Le Procureur a écrit : « si nos actes ne traduisent pas notre volonté d’appliquer le droit de manière impartiale, si notre application du droit est perçue comme étant sélective, nous aurons contribué à son effondrement. » Hélas, oui !

L’enjeu est immense.
Au travers du lynchage d’Israël, c’est toute lutte contre le terrorisme qui est condamnée.

La France s’honorerait de dénoncer la demande de mandats d’arrêt contre les dirigeants israéliens, comme l’ont fait plusieurs pays.

Paris, le 23 mai 2024

Communiqué du MPCT : soutien au Rassemblement unitaire du 7 avril, libération de tous les otages du Hamas !

7 octobre – 7 avril : six mois de cauchemar pour les otages aux mains du Hamas, pour leurs familles !

Ils auraient été libérés depuis longtemps s’il y avait eu unité de la communauté internationale, réprobation de la conscience universelle, condamnation du crime contre l’humanité commis le 7 octobre par le Hamas, ses acolytes et ses parrains, action de l’ONU, saisine de la justice internationale !

Faillite morale, Israël a été laissé seul face au terrorisme islamiste.

On ne peut plus attendre.

On ne peut laisser les mois devenir des années, comme pour les lycéennes de Chibok enlevées par Boko Haram il y a presque 10 ans !

Pour forcer le Hamas à libérer tous les otages, pour faire cesser le désastre dans lequel le Hamas a plongé Gaza, il faut que cela change !

Unité pour la libération de tous les otages, unité face au terrorisme islamiste !

Le MPCT s’associe au rassemblement unitaire organisé par le CRIF et les collectifs citoyens nés en réaction au 7 octobre

DIMANCHE 7 AVRIL à 18 h au TROCADERO.