Activité : déclaration du MPCT Val de Marne

Mouvement Pour la Paix et Contre le Terrorisme – Val de Marne

Déclaration au Conseil Municipal de Fontenay-sous-Bois le 13 mars 2025

Notre association, fontenaysienne, a demandé à prendre la parole devant le Conseil Municipal, devant notre ville que nous aimons.
Nous le faisions pour la première fois en 22 ans d’engagement dans la défense des droits humains universels et la résistance au terrorisme.
Nous regrettons que ce droit ne nous ait pas été accordé.

Les sensibilités et les opinions diverses doivent être respectées mais aucune cause ne saurait justifier l’enlèvement de deux petits-enfants, dans les bras de leur mère terrifiée.

L’Israélienne Shiri Bibas et ses enfants
Ariel et Kfir

Il n’y a fondamentalement que deux camps à nos yeux : celui qui condamne un tel crime, fièrement filmé par ses auteurs, et celui qui le justifie.

Tout le reste peut se débattre mais pas ceci.

L’apologie du terrorisme doit être une ligne rouge, au même titre que le racisme et l’antisémitisme.

Contrairement à d’autres municipalités de gauche ou de droite, notre ville n’a pas affiché leurs portraits, pas plus que ceux des otages franco-israéliens du Hamas.

En revanche, elle a hélas reçu le représentant d’une organisation terroriste complice des crimes du Hamas, le FPLP.
Oui, complice, l’infâme mise en scène de la remise des corps des malheureux enfants Bibas l’atteste. L’un des quatre miliciens qui portaient le cercueil contenant les restes d’un tout petit enfant assassiné à Gaza parce que juif, arborait le bandeau du FPLP.

Ce qui a été fait ne peut être défait mais, toutes et tous ensemble, nous pouvons nous ressaisir.
Nous le devons, c’est le sens de l’alerte que nous voulons lancer.

Nous ne pouvons laisser s’instaurer un climat où l’invective, la diffamation et la haine viendraient supplanter le dialogue démocratique.
Nous ne pouvons rester sans réagir quand des enfants sont exposés à une propagande toxique comme cela a été le cas dans notre ville sous prétexte d’événements sportifs.
Il n’est rien de pire que de semer la haine dans le cœur des enfants.
Le vivre ensemble doit perdurer dans notre ville. Nous ne voulons pas que s’y installe une situation similaire à celle de la Seine Saint Denis où les enfants juifs ont massivement déserté les établissements publics, parce qu’ils y étaient harcelés et que le « pas de vagues » a prévalu.

Les mots ont un sens.

L’examen des faits confirme la volonté génocidaire du pogrom subi par Israël le 7 octobre et infirme toute volonté génocidaire de sa riposte militaire.
Pourtant c’est la double inversion victimaire et accusatoire qui prévaut.
Nous ne sommes nullement indifférents au sort de la population de Gaza mais le responsable en est le Hamas qui l’a entraînée dans cette guerre, lui refusant toute protection et l’utilisant cyniquement comme bouclier humain.

En conclusion, nous voulons que notre ville exprime haut et fort son engagement contre le terrorisme.

Le terrorisme islamiste a massivement frappé la France.

Il a meurtri notre ville par deux fois en 2015, assassinant un habitant de Fontenay à l’Hypercacher, parce qu’il était juif et une sportive de Fontenay au Bataclan, parce qu’elle aimait la musique.

Leur mémoire doit continuer à être honorée, publiquement.

Pour que l’hommage aux victimes du terrorisme ait l’importance qu’elle mérite, nous souhaitons que la cérémonie du 11 mars devienne un grand événement, associant largement Fontenaysiens et Fontenaysiennes.

Nous voulons aussi que soit enfin inaugurée la rue ou la place en hommage au Lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, mort en héros après avoir pris la place d’une otage.

Nous formulons aussi le vœu que le nom de Samuel Paty et/ou Dominique Bernard soit donné à un établissement scolaire ou que des lieux leur soient dédiés.

Nous souhaitons qu’Ohad Yahalomi et Orion Hernandez-Radoux, nos compatriotes otages du Hamas assassinés à Gaza, aient leur lieu de mémoire dans notre ville, ne serait-ce que des arbres plantés dans un de nos beaux parcs.

Dans le cadre de la féminisation des noms de rues, nous proposons que le nom de Shiri Bibas soit donné à une voie dans notre ville, associé à celui des petits Ariel et Kfir.

Enfin, nous proposons que le nom de la jeune Mahsa Amini, tuée par la police du régime de Téhéran, emblématique du combat des Iraniennes, soit symboliquement donné à la nouvelle antenne jeunesse ou à un autre lieu public.

Puissent nos propositions rencontrer l’assentiment de notre municipalité, restant ainsi fidèle à l’héritage de Monsieur Bayeurte et de Monsieur Voguet.

[NDLR : Louis Bayeurte fut Maire de la ville de 1965 à 2001, Jean-François Voguet de 2001 à 2016]

Tribune : Le vrai féminisme n’exclut pas les Israéliennes et dénonce le patriarcat islamiste

Le 7 octobre en Israël, des terroristes islamistes du Hamas ont commis des pogroms d’une violence innommable et ont pris en otage près de 240 personnes au sein de la population civile.
Il s’agit également d’un féminicide et d’un infanticide de masse, avec des actes de torture d’un sadisme inimaginable, qui doit être reconnu comme un crime contre l’Humanité.


Shani Louk

Figure emblématique des suppliciées du festival Nova.

Les femmes n’ont pas été tuées de la même manière que les hommes. Elles ont été exhibées nues, mutilées, violées au point de fracturer leur bassin. Leurs cadavres ont été violés également.
Ils ont uriné sur leurs dépouilles. Certaines ont été décapitées, d’autres démembrées et brûlées. D’autres encore ont été prises en otages.
Des jeunes filles handicapées aussi ont été assassinées comme Noya, autiste âgée de 12 ans, et Ruth, polyhandicapée âgée de 17 ans.
Des enfants, dont des nourrissons ont été torturés, mutilés, massacrés et kidnappés.


Noya, assassinée, serrée contre sa grand-mère, dans kibboutz Nir Oz.

Tout cela a été filmé et pris en photo par les terroristes eux-mêmes pour susciter la terreur parce que les femmes et les enfants sont les symboles de la vie. Les islamistes se vantent eux-même de préférer la mort.
Parmi les victimes, de nombreuses personnes, en particuliers habitantes des kibboutz œuvraient activement depuis longtemps pour la paix, accueillaient et soignaient des Gazaouis, comme la grand-mère de Noya, Carmela Dan âgée de 80 ans ainsi que la féministe et pacifiste Viviane Silver à l’âge de 74 ans.

Ce jour là, les ogres du Hamas et de l’UNRWA ( dont plus de 400 employés sont membres du Hamas) assistés et acclamés par de nombreux civils Gazaouis, ont montré qu’ils ne veulent pas seulement effacer les femmes libres de l’espace public.
Ils veulent nous anéantir.

Et leur programme c’est de commencer par les femmes juives. Juives telles que, eux, les définissent, en tant que “race” jugée impure par leur doctrine religieuse et politique.
C’est une déclaration de guerre contre Israël bien entendu, contre la liberté et contre les femmes du monde entier, même celles qui se taisent et même celles qui collaborent avec la peste islamiste depuis les pays démocratiques où elles vivent en sécurité.

C’est l’expression du mépris le plus absolu pour tous les enfants du monde, les enfants d’Israël avant tout, mais aussi tous les autres, même les enfants de Gaza et de Cisjordanie.
Car le Hamas, comme toutes les autres organisations terroristes palestiniennes, ont toujours instrumentalisé et sacrifié les enfants palestiniens pour servir leur véritable projet qui n’est autre que le génocide du peuple juif.
Ils continuent et continueront ainsi jusqu’à ce qu’ils soient définitivement vaincus.
L’extermination du peuple juif fait partie du programme du Hamas et de toutes les organisations terroristes palestiniennes, comme elle faisait déjà partie de celui de l’OLP.

Au sein de la population palestinienne le taux de natalité est presque de 4 enfants par femme.
Cette surnatalité ne peut être que la conséquence, d’une politique d’armement démographique totalitaire fondée sur le conditionnement mental, les mariages forcés, la polygamie, les viols conjugaux et les grossesses imposées depuis de nombreuses générations aux Palestiniennes par les Palestiniens.
Ce natalisme fait partie intégrante de leur stratégie politique tout comme l’endoctrinement islamiste et antisémite des enfants dès le plus jeune âge dans les écoles de Gaza et de Cisjordanie.

A présent, aux quatre coins du globe, les antisémites, qui se définissent comme « anti-sionistes », exhibent leur haine en invoquant le prétexte d’un anti-colonialisme affabulateur, répandent leur propagande conspirationniste et négationniste, agressent des personnes de confession juive et arrachent les affiches qui réclament la libération des otages.
En France, pendant que Reconquête et le Rassemblement National essaient de faire oublier, avec plus ou moins de succès, leurs paroles et leurs alliances révélatrices, il y a le GUD, Rivarol, Soral et Dieudonné, la campagne BDS et ses liens avec de multiples associations locales et nationales.
Et il y a surtout à présent les islamistes et leurs serviteurs dits « de gauche » qui ont manifesté pour les soutenir le 10 novembre 2019, LFI, NPA et STRASS en tête. Les deux principaux points communs entre tous, quoiqu’ils prétendent, est leur misogynie fondamentale et leur antisémitisme viscéral.
L’islamisme, qu’il soit palestinien, iranien, afghan ou autre, est l’ennemi des femmes du monde entier.
La solidarité féministe internationale ne peut exclure les Israéliennes.
Les Iraniennes en résistance contre la mollarchie leur ont immédiatement témoigné leur soutien et ont tout de suite dénoncé la participation fondamentale du gouvernement de leur propre pays.

Les soi-disant « féministes » qui refusent de dénoncer les pogroms, féminicides et infanticides du 7 octobre au nom d’une prétendue solidarité envers les Palestiniennes se gardent bien de dénoncer les premiers oppresseurs de ces dernières : les Palestiniens qui les condamnent à n’être que des fabriques de chair à canon et boucliers humains.

Les féministes françaises se sont insurgées, à juste titre, d’une seule voix, contre le projet de “réarmement démographique” d’Emmanuel Macron.
Mais la majorité d’entre elles semblent indifférentes à l’armement démographique palestinien par l’exploitation reproductive des Palestiniennes. Ceci est pourtant une immense violence infligée à ces femmes et aux enfants qu’elles n’auraient sûrement pas mis au monde si elles avaient été réellement libres.

“Faites 12 enfants et donnez-nous en 10 pour l’intifada” disait Yasser Arafat.
On ne peut pas être féministe si on tolère cela.

Le fait que cette population soit, depuis toujours, dirigée par les fondateurs et leaders des Frères Musulmans, ça ne les dérange pas. L’alliance entre Adolf Hitler et le Grand Mufti de Jérusalem Mohammed Amin al-Husseini, ça ne les dérange pas. L’assassinat des athlètes israéliens aux jeux olympiques de Munich en 1972, ça ne les dérange pas. Les athées enfermé-e-s, torturé-e-s et exécuté-e-s, ça ne les dérange pas. Les homosexuel-le-es jeté-e-s du haut des immeubles, ça ne les dérange pas.

Sont-elles vraiment « féministes » ?

Le féminisme n’est qu’un mot vide de sens s’il n’est pas universaliste. Et l’universalisme ne peut pas s’accommoder des penchants et des résidus d’antisémitismes que l’adhésion sans réserve à cette fameuse “cause palestinienne” révèle de façon éclatante.

L’adhésion à cette cause qui a été créée par des antisémites pour servir leur projet d’extermination est l’une des raisons de la dégénérescence de la gauche européenne, y compris du mouvement anarchiste, se rabaissant à défendre et soutenir l’extrême droite orientaliste qu’est l’islamisme, les pires ennemis des femmes, de la vie et de la liberté.
Pas étonnant, dans ce contexte, que l’extrême droite occidentaliste, bien plus maligne et rusée, qui profite de l’ignorance et de la paresse intellectuelle des gens en se faisant passer pour la défenseuse de la laïcité, la protectrice des Juifs et le rempart contre l’islamisme, gagne en popularité.
Bien sûr qu’il y a des civils, dont des femmes et des enfants, qui sont morts sous les bombes à Gaza, quel qu’en soit le nombre, il y en a forcément beaucoup trop. Mais les chiffres annoncés de partout pour réclamer le cessez le feu (en oubliant la majorité du temps de réclamer aussi la libération des otages), sont toujours ceux énoncés par le Hamas qui n’est absolument pas crédible.

Les « propalestiniens » ne cessent de citer les condamnations d’Israël par les instances internationales. Mais quelles sont leurs compositions à ces fameuses instances internationales qui reprennent, à leur compte et sans réserve, les chiffres et les scénarios donnés par le Hamas ? Les dictateurs, y compris islamistes, y siègent et y ont une influence phénoménale.
L’ONU n’est pas neutre et elle penche clairement du côté des terroristes palestiniens. D’une part, les voix des dictatures y ont autant, voire plus, de poids que les voix des pays démocratiques. Ces mêmes dictatures regroupées sous l’appellation de « Sud global » sont également les alliées de Poutine.
De plus, comme l’a démontré brillamment Malka Markovich dans « Les Nations Désunies », depuis la conférence sur le racisme à Durban en 2001, l’ONU est devenue une machine à «broyer les droits humains».

La Croix Rouge, dont des bénévoles ont été surpris et filmés en France en trains d’arracher des affiches d’otages israélien-ne-s, ne dissimulait même pas sa sympathie pour les terroristes palestiniens au moment de la libération des otages israélien-ne-s en échange d’un nombre indécent de criminels palestiniens.
Alors, entre un État démocratique qui a été créé pour servir de refuge à un peuple chassé et persécuté dans le monde entier, victime d’un véritable génocide, et un projet d’État totalitaire dont l’objectif principal est d’achever l’extermination de ce peuple les vraies féministes savent qui elles doivent soutenir.
Quelles que soient les critiques légitimes et nombreuses que le monde entier et la population israélienne elle-même peut et doit adresser au gouvernement israélien, Israël est un État démocratique.
Les opposant-e-s politiques n’y sont pas persécuté-e-s. Les athées n’y sont pas condamné-e-s à la décapitation. Les homosexuel-le-s n’y sont pas exécuté-e-s. Les femmes y ont des droits relativement équivalents à ceux de la plupart des pays démocratiques, loin d’être parfaits mais les féministes y sont actives et n’y sont pas persécutées. Le taux de natalité est bien plus faible qu’au sein de la population palestinienne, ce qui indique que les grossesses imposées y sont bien moins fréquentes.
Il y a différents courants politiques, philosophiques et religieux, qui s’affrontent et se confrontent sans que l’un d’entre eux organise le massacre des autres. Même les plus extrémistes en Israël ne font pas ça.
Lorsque des membres de Tsahal sont accusé-e-s ou soupçonné-e-s de mauvais comportements, Tsahal mène une enquête et applique des sanctions contre les coupables.
C’est tout l’inverse avec le mouvement palestinien, depuis toujours dirigé par les fondateurs et leaders des Frères Musulmans alliés des nazis durant la Seconde Guerre Mondiale.

Entendons-nous, voyons-nous beaucoup de manifestations a Gaza ou en Cisjordanie pour réclamer la fin des tirs de roquettes, la libération des otages, l’égalité des droits entre hommes et femmes, l’abolition de la polygamie et des mariages précoces et forcés, la décriminalisation de l’homosexualité, le droit à l’apostasie ? Non.
Quant aux gouvernements des états qui soutiennent « la Palestine », leurs liens avec les gouvernements des dictatures dont la Russie et leur complaisance envers les états islamistes, quand ils ne sont pas eux-mêmes islamistes, devraient nous mettre la puce à l’oreille.
Ne pas prendre parti pour une démocratie contre un totalitarisme est une erreur politique grave et dangereuse, y compris et principalement pour les femmes et les enfants.


Mélusine Vertelune
Co-autrice avec Jeanne Cordelier de “Ni silence, ni pardon : L’inceste, un viol institué”

Viviane Teitelbaum
Sénatrice – auteure belge

Ingeborg Kraus
Docteure psychothérapeute spécialiste du trauma

8 MARS : POUR UNE VRAIE JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DES FEMMES !

Notre choix est fait : samedi 8 mars , c’est dans le cortège « Nous vivrons « que les membres du MPCT manifesteront à Paris !

14 h Place de la République

Laisser les amis des terroristes du Hamas, kidnappeurs, tortionnaires, violeurs assassins des femmes d’Israël, faire main basse sur la marche féministe, ce serait enterrer les droits des femmes, de toutes les femmes. Pas question !

L’exposition du MPCT
‘Ecouter les victimes de violences sexuelles, combattre l’apartheid sexuel, soutenir le droit des filles à l’éducation »
est visible à la Maison du Citoyen et de la Vie Associative de Fontenay-sous-Bois jusqu’à samedi 8 mars.
Nous l’avons dédiée à Mahsa Amini et Shiri Bibas.
Et bien sûr, le 8 mars, on n’oublie pas Cécile Kohler !

Israéliennes

Yézidies, Nigérianes, Soudanaises

Afghanes

Iraniennes

11 mars : Journée d’hommage aux victimes du terrorisme

L’Ensemble de musique classique Arietta donnera un concert le 11 mars, dans le cadre de la Journée Européenne et Nationale d’hommage aux victimes du terrorisme.

Comment ne pas soutenir la belle initiative Bach2Life?

Le MPCT s’en félicite et invite ses membres de région parisienne à y participer.

Puisse la musique consoler et permettre le retour à la vie !

Billetterie

https://www.helloasso.com/associations/ensemble-arietta/evenements/bach-2-life

Communiqué du MPCT : Hommage à Ohad Yahalomi, urgence de faire libérer tous les otages du Hamas

Dans la nuit de mercredi à jeudi 27 février, un échange entre otages israéliens et prisonniers palestiniens a permis à Israël de recevoir les dépouilles de 4 personnes kidnappées le 7 octobre 2023.

Parmi elles figure hélas, Ohad Yahalomi, 49 ans, le dernier otage franco-israélien.
50 de nos compatriotes ont donc été victimes de la barbarie des islamistes du Hamas.

Le MPCT exprime tout son soutien à la famille d’Ohad Yahalomi.

Le message du Président Macron est peut-être sincère, il ne saurait masquer le manque flagrant de solidarité depuis ce funeste 7 octobre, tant de la part de notre diplomatie que de la société civile.

Ohad Yahalomi était du même kibboutz que la famille Bibas, Nir Oz, un des plus durement frappés le7 octobre.

Son corps a été restitué le soir même de l’inhumation, si bouleversante et si digne des enfants Ariel et Kfir Bibas et de leur mère Shiri.

Tous trois sont devenus le symbole autant de la haine mortifère du Hamas que de l’effroyable régression morale assimilant des enfants en bas âge à des « prisonniers », voire des « colons » et des djihadistes assassins à des « résistants ».

Une faillite quasi civilisationnelle a atteint jusqu’à certains de nos députés qui n’ont plus aucun scrupule à reprendre les éléments de langage d’une organisation criminelle.

Oui, Monsieur le Président, comme vous l’avez écrit, la barbarie du Hamas doit prendre fin !

Et vite !

La mère de l’otage Alon Ohel, qui doit avoir 24 ans lundi, a lancé un appel poignant.

Les témoignages d’otages libérés permettent d’affirmer que son fils est vivant mais détenu, avec d’autres, dans des conditions atroces. Il est attaché, affamé, privé de soins alors qu’il est grièvement blessé.

Sa libération immédiate et inconditionnelle, celle de tous les otages du Hamas encore en vie, la restitution immédiate des morts, telle est l’exigence à formuler pour faire cesser cette barbarie. La voix de la France doit la porter avec force à l’ONU, auprès des négociateurs qataris qui peuvent et doivent faire pression sur le Hamas, comme auprès de la Croix-Rouge.

Silence, on pleure Ariel et Kfir, à jamais dans nos consciences

Beaucoup ont trouvé les mots pour dire l’effroi et la douleur à la confirmation de la mort des enfants Bibas, à jamais symboles du peuple juif persécuté et de l’innocence massacrée.

Pour notre part, nous avons gardé le silence ce jeudi, tout en participant à l’émouvant hommage qui leur a été rendu le soir, à eux, à leur mère Shiri et à Oded Lifshitz, ce vieux militant de la paix.

C’est le temps des larmes et du recueillement.

Ce vendredi 21 février, entre 11 h et 15 h, la WIZO et le CRIF appellent à venir se recueillir en hommage aux otages assassinés et exiger la libération de tous les autres.

Nous serons au rendez-vous.

Invitation de Salah Hamouri : suite

L’annonce de la venue à Fontenay-sous-Bois d’un partisan du FPLP, organisation classée terroriste dans les pays de l’Union Européenne, a suscité un sursaut républicain.

Cela n’a pas plus à ceux qui se réjouissaient de cette invitation. Ils ont alors eu recours au mensonge et à la diffamation, recettes éprouvées, au travers d’un communiqué hélas publié au nom du Nouveau Front Populaire.

Ci-dessous , le communiqué en retour adopté par les trois associations organisatrices du rassemblement du 5 février.
On ne nous musellera pas, on ne nous divisera pas !

COMMUNIQUÉ COMMUN

Mouvement Pour la Paix et Contre le Terrorisme
Association Tous 7 octobre Fontenay
Association Beth Chalom

Un communiqué gravement diffamatoire a été publié au nom du Nouveau Front Populaire. Il assimile à l’extrême-droite les organisateurs du rassemblement qui s’est tenu le mercredi 5 février à Fontenay-sous-Bois pour protester contre la venue de Salah Hamouri.

Or, ce rassemblement était organisé par trois structures :

🔹 Le MPCT (Mouvement Pour la Paix et Contre le Terrorisme), une association citoyenne engagée dans la défense des droits humains et pionnière de la résistance au terrorisme. La ville de Fontenay a elle-même soutenu les Journées Internationales Contre le Terrorisme organisées par cette association.
🔹 L’association Tous 7 octobre Fontenay, inlassablement mobilisée pour la libération des otages du Hamas, dont le plus jeune, kidnappé à l’âge de 9 mois, est toujours détenu par ces terroristes coupables de crimes contre l’humanité.
🔹 L’association Beth Chalom, une association cultuelle juive qui ne participe habituellement pas aux manifestations. Elle a néanmoins jugé nécessaire de s’associer à ce rassemblement, car Salah Hamouri a été condamné en Israël pour avoir voulu assassiner un rabbin.

Accuser ces organisations d’avoir coorganisé cet événement avec le parti Reconquête est un pur mensonge.
Dans notre démarche citoyenne, nous sollicitons nos élus, et non des partis politiques. Ce rassemblement n’était ni d’extrême-droite, ni d’extrême-gauche, ni affilié à aucun parti.

Dès que nous avons appris que Reconquête appelait à y participer, nous avons immédiatement publié le communiqué suivant :

🔹 Communiqué officiel du 5 février 2025 🔹
“La manifestation a été initiée par le MPCT, Tous 7 octobre et Beth Chalom. Elle repose sur un engagement citoyen et non partisan.
Nous avons été informés que le parti Reconquête appelle à manifester contre la venue de Salah Hamouri à nos côtés. Si chaque citoyen est libre de se mobiliser, nous refusons absolument que cette manifestation soit récupérée par un parti politique, quel qu’il soit.
Notre initiative ne doit en aucun cas être détournée de son objectif initial.
Nous appelons donc chacun à respecter l’esprit de cette mobilisation : le refus de la banalisation du terrorisme, du racisme et de l’antisémitisme, et à s’abstenir de toute tentative de récupération politique.”

Nous condamnons fermement toute dégradation
Quant aux dégradations du portail de la Maison du Citoyen, ou de tout autre équipement municipal, nous les condamnons avec la plus grande fermeté.

Des accusations diffamatoires inacceptables
Nous nous élevons contre les propos gravement diffamatoires du communiqué du NFP et nous nous réservons le droit de porter plainte contre leurs auteurs.

Nous démentons formellement les accusations selon lesquelles “les pires propos et menaces” auraient été proférés lors de notre rassemblement. Les prises de parole de tous les intervenants étaient non seulement conformes à la légalité républicaine, mais également empreintes de civisme et d’humanisme.

Nous saluons d’ailleurs la présence d’élus municipaux et de notre député, dont l’engagement contre la banalisation du terrorisme, le racisme et l’antisémitisme est exemplaire – engagement que tout(e) élu(e) de la Nation devrait partager.

Nous demandons aux formations du Nouveau Front Populaire :
📌 De se désolidariser de ce communiqué diffamatoire.
📌 De se démarquer de l’invitation faite à un partisan du FPLP, organisation terroriste complice du Hamas.
📌 D’exiger la libération de tous les otages du Hamas, en particulier les petits Kfir et Ariel Bibas, enlevés alors qu’ils étaient dans les bras de leur mère, ainsi que notre compatriote Ohad Yahalomi. L’angoisse pour eux grandit encore au vu de l’état de santé des otages libérés ce samedi 8 février, lors de scènes révoltantes orchestrées par le Hamas.

Fontenay-sous-Bois, le 9 février 2025

Contacts presse
MPCT : 0666264223
Tous 7 octobre Fontenay : 0635456388
Beth Chalom : 0767939888

Crédit photo : Le Parisien / Sylvain Deleuze

COMMUNIQUÉ : NON à la venue de Salah Hamouri à Fontenay-sous-Bois !


Le Mouvement Pour La Paix Contre le Terrorisme

L’association Tous 7 octobre de Fontenay

La communauté de Beth Chalom

appellent à un rassemblement pacifique pour dire NON à l’invitation de
Salah Hamouri, individu lié à une organisation terroriste.

Rendez-vous mercredi 5 février 2025 de 19h à 20h 30
Devant la Maison du citoyen et de la Vie associative

(16, rue du Révérend Père Lucien Aubry – 94120 Fontenay-sous-Bois)

La libération d’otages israéliens – en échange d’assassins condamnés – vient de donner lieu à des scènes révoltantes à Gaza.
L’angoisse grandit quant au sort des nombreux otages restés aux mains du Hamas, en particulier les petits enfants Kfir et Ariel Bibas.
A un tel moment, la venue d’un partisan du FPLP, organisation complice du Hamas, est une provocation insupportable.

Venez nombreux pour défendre nos valeurs républicaines et dire :

Libération de tous les otages du Hamas !
NON à la banalisation du terrorisme, NON au racisme et à l’antisémitisme !
OUI au débat démocratique et au vivre ensemble !

Contacts presse
MPCT : 0666264223
Tous 7 octobre Fontenay : 0635456388
Beth Chalom : 0767939888

Dernière minute : Communiqué officiel du 5 février 2025

La manifestation a été initiée par le MPCT, Tous 7 octobre et Beth Chalom. Elle repose sur un engagement citoyen et non partisan.

Nous avons été informés que le parti Reconquête appelle à manifester contre la venue de Salah Hamouri à nos côtés. Si chaque citoyen est libre de se mobiliser, nous refusons absolument que cette manifestation soit récupérée par un parti politique, quel qu’il soit.

Notre initiative ne doit en aucun cas être détournée de son objectif initial.

Nous appelons donc chacun à respecter l’esprit de cette mobilisation, le refus de la banalisation du terrorisme, du racisme et de l’antisémitisme et à s’abstenir de toute tentative de récupération politique.

Communiqué du MPCT : OTAGES


Pour trois jeunes Israéliennes et pour leurs familles, ce dimanche 19 janvier a été un jour d’indicible bonheur.


Voir Romi, Emily et Doron serrées dans les bras de leurs mères, après plus de 15 mois de calvaire, nous a fait éprouver une joie et une émotion immenses.

Plus que jamais, nous exigeons la libération de TOUS les otages du Hamas !

94 manquent toujours à l’appel et parmi eux, deux tout petits enfants, Kfir et Ariel, visages de l’humanité confrontée au terrorisme islamiste.

94 manquent toujours à l’appel et parmi eux certains, peut-être beaucoup, sont morts, le Hamas, champion de la torture psychologique, refusant de révéler leurs noms.

Si la prise d’otages constitue toujours un piège absolu auquel aucune bonne réponse ne peut être apportée, celle qui a été perpétrée à une échelle massive le 7 octobre est particulièrement ignoble.

Or c’est aussi celle qui bénéficie de la plus grande complaisance : des instances de l’ONU aux grandes ONG, de la plupart des médias, relayant la propagande du Hamas, à la majorité des chancelleries, on s’est employé à la banaliser, à la légitimer.
L’immoral déséquilibre entre d’une part des otages innocents et d’autre part des terroristes condamnés, qui plus est dans un rapport de 1 à 30, est avalisé au lieu d’être dénoncé.

Sans une telle complaisance, cette prise d’otages aurait pris fin depuis longtemps.

Les scènes que l’on a vues dimanche à Gaza révoltent la conscience humaine.

Agglutinés autour de trois frêles jeunes femmes, des dizaines d’hommes armés démontraient leur force, dans des uniformes flambant neufs, le front ceint du bandeau vert des terroristes islamistes. Ils avaient le visage masqué, pour mieux pouvoir jouer ensuite aux « journalistes », « soignants », « malades », « enseignants » et autres « civils innocents », prétendument affamés et génocidés par Israël.

La présence d’un terroriste juché sur l’un des véhicules de la Croix-Rouge chargés du transfert des otages libérés était un terrible symbole de servilité.

La double inversion, victimaire et accusatoire représente la plus grande imposture de notre temps.

C’est aussi un danger extrême pour toute l’humanité car si elle fonctionne contre Israël, elle se généralisera.

Nous appelons à la combattre de toutes nos forces.

15 mois d’enfer pour les otages israéliens : rassemblement pour la libération de tous le 18 janvier à 19 h 30


Le 18 janvier, Kfir Bibas qui a le triste privilège d’être le plus jeune otage au monde doit avoir 2 ans.

Ni lui ni son frère Ariel n’ont jamais eu droit à une visite de la Croix-Rouge, à une campagne de Save the children ou de l’UNICEF.
Cette terrible inhumanité, cette indifférence complice ont prolongé leur calvaire.

Ces deux petits enfants qui sont le visage de l’humanité face à la barbarie, nous les voulons passionnément vivants et libres !

Alors qu’un accord est présenté comme imminent, le MPCT appelle à participer au rassemblement organisé par le collectif Tous 7 octobre, #agir ensemble et le forum des familles d’otages : libération immédiate de tous les otages du Hamas !

A PARIS, SOYONS AU RENDEZ-VOUS !

RASSEMBLEMENT PLACE DU TROCADERO SAMEDI 18 JANVIER à partir de 19 h 30

Crédit photo : famille Bibas