Sport, islamisme et argent : un communiqué commun

La vigilance de la Ligue du Droit International a permis de riposter à la nouvelle opération de promotion des sportives voilées dans le métro, particulièrement scandaleuse alors que les courageuses Iraniennes et Afghanes sont en lutte pour résister au port obligatoire du voile islamique, pour leur liberté, en particulier celle de faire du sport.

Pas moins de 37 associations se sont associées à ce communiqué Sport et islamisme : de l’agent à gagner !

https://www.ldif.asso.fr/index.php?theme=sport&n=1154

Une lettre a été adressée par la Ligue du Droit International des Femmes au PDG de la RATP, à la Ministre des Sports et à la Ministre de l’égalité femmes/ hommes.

Elle leur a même été portée, accompagnée du communiqué et d’un bouquet de fleurs !

Réponse très attendue !

[Crédit photo : Ligue du Droit International des Femmes]

Pour Cécile, 15 ans après l’attentat du Caire

Voici quelques clichés de la cérémonie qui s’est tenue comme tous les ans à Levallois, en hommage à Cécile Vannier, cette jeune lycéenne victime de l’attentat du Caire le 22/02/2009, et qui avec le recul apparait comme une des premières victimes françaises de la récente vague djihadiste qui allait ensuite frapper sur notre sol, et jusqu’à récemment le 07 octobre en Israël avec la mort de 42 compatriotes parmi les 1200 victimes du pogrom du Hamas.

Au jardin des roses de Cécile

Unies pour perpétuer la mémoire de Cécile

15 ans que Cathy et Jean-Luc se battent pour la mémoire de Cécile et la recherche de la vérité sur les responsables de l’attentat, une quête hélas bien difficile et laborieuse car entravée par les obstacles administratifs et disons-le les réticences des appareils d’état au nom de la “raison” du même nom.

Comme l’a rappelé l’un des officiels présents lors de la cérémonie, ceux qui ont causé les attentats de novembre 2015 (la phratrie Clain) faisaient déjà partie de la mouvance qui a arraché Cécile à ses parents et à la vie.

Le MPCT sera toujours aux cotés de Cathy et Jean-Luc, et de tous les proches des victimes du terrorisme, pour la mémoire, la vérité et la justice.

Thomas Dresler

La Réunion : soutien à la toute jeune ARCAD

Communiqué de l’Association Réunionnaise Contre l’Antisémitisme et la Désinformation (ARCAD)

Victimes et otages français : ne pas les oublier !

Le 7 octobre 2023, le mouvement terroriste Hamas déclenchait une offensive sur le territoire
israélien causant la mort de 1400 personnes, sur fond de viols, mutilations, éventrations,
prises d’otages, tortures physiques et psychologiques d’une barbarie sans nom !

Parmi ces victimes, 42 Français ont été assassinés, faisant de cet événement un des plus
meurtriers depuis les attentats de Nice et de Paris pour La France.

Aujourd’hui, se tient un hommage à ces victimes, ainsi qu’aux blessés, aux libérés, et bien
sûr aux otages ; cet hommage est mené à l’initiative du président de la République lui-même !

Cet hommage n’efface pas le silence coupable et déplorable de nos élus locaux qui ne
manifestent aucun soutien, aucun égard face à la mort atroce de nos compatriotes !

Aussi l’Association Réunionnaise Contre l’Antisémitisme et la Désinformation (ARCAD)
salue la décision du gouvernement de rendre un hommage à nos quarante-deux
compatriotes.

Elle rappelle qu’il reste 132 otages présumés encore en vie qui ont été contraints de suivre
leurs ravisseurs dans la bande de Gaza et, qui y subissent les pires sévices, et ce, depuis
quatre longs mois !

Trois d’entre eux sont français. Ohad Yahalomi, Ofer Kalderon et Orion Hernandez Radoux
seraient encore retenus dans les tunnels du Hamas.

L’ARCAD appelle à leur libération immédiate et sans condition, ainsi qu’à la libération de
tous les otages.

Le conflit, déclenché par le Hamas, qui depuis se terre dans des tunnels, a entraîné la mort
de civils israéliens et palestiniens en très grand nombre. Ce sont autant d’innocents tués.

Ce conflit doit cesser avec la capitulation du Hamas. Ce mouvement qui a détourné l’aide
internationale dans le seul but de déclencher une guerre sanguinaire ne mérite aucun
soutien !
L’inverse est une trahison à toutes les victimes d’attentats islamistes partout dans
le monde.
Le Hamas doit disparaître afin de permettre aux Palestiniens et Israéliens de vivre enfin en
paix, à travers une solution négociée.

Le 7 février 2024
L’Association Réunionnaise Contre l’Antisémitisme et la Désinformation (ARCAD

Contact presse : Anaël Goetschel

Communiqué du MPCT : Hommage aux victimes franco-israéliennes du Hamas


Pour saluer la mémoire de ces 42 victimes qui doivent toutes être nommées

Pour exiger que justice leur soit rendue

Pour rejeter la complaisance envers leurs assassins, criminels contre l’humanité

En solidarité avec les familles

Nous serons au rendez-vous lancé par le Collectif “Nous Vivrons”
et appelons à participer au

RASSEMBLEMENT SOLENNEL à 11h30 SUR L’ESPLANADE DES INVALIDES
MERCREDI 7 FEVRIER, 4 mois après l’atroce pogrom du 7 octobre

devant l’écran géant de retransmission de la cérémonie d’Hommage
National présidé par Emmanuel Macron.

La France doit inlassablement exiger la libération sans condition de nos trois compatriotes toujours otages du Hamas :

Orion Hernandez Radoux, Ohad Yaalomi, Ofer Calderon

et de tous les autres otages, du plus jeune, Kfir, un an, au plus âgé qui a 85 ans.

Honte au CICR, présent à Gaza qui abandonne ces enfants, ces jeunes filles, ces femmes et ces hommes à la cruauté et aux sévices de leurs ravisseurs !

Honte à l’ONU qui ne démantèle pas l’UNRWA, complice des assassins du Hamas !

Honte à tous ceux qui ont minimisé, voire justifié, les actes terroristes du Hamas !

Mouvement Pour la Paix et Contre le Terrorisme

Paris, le 4 février 2024

Crédit affiche : Collectif “Nous Vivrons”
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Les noms de quelques unes des victimes franco-israéliennes du pogrom du 7 octobre :

Céline BenDavid Nagar, assassinée au Festival de musique Nova

Bar Zohar, assassinée le 7 octobre au Festival de musique

Sigal Levi, 31 ans, une bénévole pour une association d’aide aux jeunes en difficulté

Marc Perez, 51 ans

Avidan Torgeman, né à Bprdeaus

Michael et Osher Vaknin, frères jumeaux

Naomie Bikhar, 23 ans, originaire de Créteil

Elya Toledano

Yitzhak Levy, 26 ans

Shiraz Brodash, 23 ans

Karine Journo, 24 ans

Dan Benhamou, 27 ans, né à Marseille

Moriah Or Suissa, 24 ans

Erick Perez et sa fille Ruth, 17 ans, lourdement handicapée, assassinés au Festival de musique No

Shiraz Brodash, 23 ans

Carmela Dan, 80 ans et sa petite-fille Noya Dan

Or Tasa, 17 ans, fils de Sabine Tasa

Roni Levy, 82 ans

Ilan Fiorentino, tué en combattant les envahisseurs le 7 octobre

Valentin Elie Ghnassia, un des 9 soldats franco-israéliens tués le 7 octobre

Depuis plusieurs autres ont été tués à Gaza.

Crédit photos et informations : The Times of Israel qui a publié des photos des victimes avec l’autorisation des familles

Tribune : Le terrorisme, angle mort de la justice internationale


La Cour Internationale de Justice aurait-elle dû déclarer recevable la plainte de l’Afrique du Sud contre Israël sur la bande de Gaza au titre de la convention pour la prévention et la répression du crime de génocide ?

L’Afrique du Sud avait manifesté un total mépris de la justice internationale en refusant d’arrêter et d’extrader le dictateur Omar El Bechir, poursuivi par la Cour Pénale Internationale pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide au Darfour.

L’Afrique du Sud est fortement soupçonnée d’être une plaque tournante du financement du terrorisme et du Hamas en particulier.

Le contexte de la guerre livrée par Israël au Hamas est totalement inédit, par les atrocités de masse subies par la population israélienne le 7 octobre, l’enlèvement et la déportation d’hommes, femmes et enfants à Gaza, comme par l’utilisation cynique que le Hamas fait de la population gazaouie et de toutes les installations civiles.

Ignorant ce contexte, la Cour Internationale de Justice a pourtant accepté la requête de l’Afrique du Sud, en considérant comme plausibles les accusations de génocide.

La commission d’un génocide est pourtant marquée par l’intentionnalité et la volonté de tuer le plus grand nombre.

Le fait de prévenir la population des frappes, par SMS et largage de tracts, les demandes d’évacuation, infirme l’intentionnalité d’Israël.

Dans l’ordonnance rendue le 26 janvier, la Cour, si elle n’ordonne pas à Israël de mettre un terme immédiat à son intervention militaire, indique cinq mesures conservatoires, toutes dictées à Israël.

Aucune demande n’est faite à l’Afrique du Sud, pas même d’agir pour obtenir la libération des otages.

La Cour appelle cependant à leur libération immédiate et inconditionnelle, ce qui doit être souligné, retenu et rappelé.

Tout comme elle mentionne l’attaque du 7 octobre en indiquant des morts et des blessés mais sans nommer les actes de torture et de barbarie, les mutilations et viols, sans évoquer de crimes contre l’humanité.

Dans un monde normal, tel que la Déclaration Universelle des Droits Humains tenta de le dessiner au sortir de la seconde guerre mondial et du génocide des Juifs, l’ONU aurait dû se saisir de l’exigence de la libération des otages israéliens, dont le plus jeune avait 9 mois le 7 octobre !

Dans un monde normal, les dirigeants du Hamas, qu’ils soient à Gaza, ou ailleurs, devraient être poursuivis pour les crimes contre l’humanité commis le 7 octobre, arrêtés et jugés.

Mais le monde n’est pas normal, il se satisfait de l’impunité du Hamas dont les parrains, à commencer par la République Islamique d’Iran, paradent à l’ONU.

Israël a dû répondre seul, par la guerre et celle-ci est destructrice.

Signe de l’affaiblissement du Hamas, les manifestations de Gazaouis se sont multipliées récemment, demandant que les otages soient libérés afin qu’elle cesse.

Et voilà que par le contenu de son ordonnance, la Cour Internationale de Justice vient en quelque sorte à la rescousse du Hamas.

Car lui n’est ni sommé ni accusé ni mis en cause dans les destructions et pertes civiles à Gaza.

Du Hamas la Cour n’exige rien : elle ne juge que des états et le Hamas n’en est pas un .

Le jour-même, le Hamas diffusait la vidéo de trois Israéliennes otages !

L’accusation de génocide, si elle n’est pas validée, est confortée par la décision de la Cour Internationale de Justice.

Les affiches indignes qui proclament sur nos murs STOP GAZA GENOCIDE ont reçu une sorte de tolérance officielle.

Les actes antisémites qui ont été multipliés par 4 en un an, avec une vraie explosion aussitôt après le 7 octobre, avant même toutes représailles israéliennes, risquent fort de se poursuivre et de s’intensifier.

Tout n’est-il pas permis contre des « génocidaires », auteurs du plus grave des crimes ?

La mise en accusation d’Israël touche par extension tous les Juifs, sommés de se joindre au choeur des condamnations.

Le danger est réel, il doit être pris en compte.

Que faire pour contrer l’inversion victimaire qui prévaut et l’insupportable impunité des commanditaires de l’attaque terroriste du 7 octobre ?

La Cour Pénale Internationale, elle, juge bien des individus.

Le terrorisme n’entre pas dans son champ de compétence puisqu’une obstruction empêchant la définition universelle du terrorisme, prévaut à l’ONU à l’initiative des pays qui soutiennent le terrorisme anti-israélien et l’assimilent à de la résistance.

En revanche, la Cour est compétente pour juger crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide.

Or, par leur caractère prémédité, généralisé, systématique, dirigé contre un groupe humain, les atrocités commises le 7 octobre, représentent des crimes contre l’humanité à visée génocidaire.

Il est urgent que la Cour Pénale Internationale se penche sur les crimes contre l’humanité commis le 7 octobre par le Hamas et ses acolytes dont l’impunité est insupportable.

Les dirigeants sont identifiés.

Ils doivent être poursuivis, où qu’ils se trouvent, à Gaza, au Qatar, en Turquie, au Liban, en Syrie, voire en Algérie ou ailleurs.

Faute de quoi, le terrorisme, angle mort de la justice internationale, signerait la mort de celle-ci.

Huguette Chomski Magnis

Secrétaire générale du MPCT, Mouvement Pour la Paix et Contre le Te

Tribune publiée par La Règle du Jeu le 29 janvier 2024

https://laregledujeu.org/2024/01/29/40039/le-terrorisme-angle-mort-de-la-justice-internationale/

Hommage : Samuel Sandler, image de la douleur, de la dignité et de l’engagement

Samuel Sandler était un enfant d’une famille décimée par la Shoah : il aura eu la douleur immense de voir l’antisémitisme meurtrier le frapper à nouveau en mars 2012 en lui arrachant son fils et ses 2 petits-fils dans ce qui a été le premier attentat djihadiste sur notre sol, préfigurant Charlie Hebdo, Bataclan et la suite…et hélas on vit déjà se mettre en place la mécanique abject du déni et de la relativisation.

(Crédit photo : CRIF)

On peut qu’imaginer ce que fut sa douleur au moment du 07 octobre, douleur qui est aussi la nôtre à tous et toutes.

Qu’il repose en paix aux cotés de ses enfants, et que la France s’interroge sur le fait qu’en 2012 et 2023, malgré tous les devoirs de mémoire et autres cérémonies, des personnes puissent se réjouir que l’on tue des Juifs parce que juifs.

Et ce qui vise les Juifs finit par s’attaquer aux autres….pourquoi est-ce encore nécessaire de le rappeler en 2023 ?

Thomas Dresler

Communiqué du MPCT : l’Afrique du Sud et le génocide, les points sur les i

Les problèmes ne manquent pas à l’Afrique du Sud : criminalité record, graves soupçons de corruption, violences contre les migrants venus des pays voisins. Elle est en outre accusée d’être une plaque tournante du financement du terrorisme.

C’est ce pays qui poursuit l’état d’Israël pour génocide devant la Cour Internationale de Justice de la Haye.

L’Afrique du Sud avait pourtant manifesté un total mépris de la justice internationale en refusant d’arrêter et d’extrader Omar El Bechir, dictateur du Soudan, poursuivi par la Cour Pénale Internationale pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide au Darfour où les massacres firent plus de 300 00 morts.

L’Afrique du Sud n’a pas condamné le Hamas et ses acolytes pour les crimes contre l’humanité à visée génocidaire perpétrés le 7 octobre en envahissant le Sud d’Israël où Ils ont commis d’atroces massacres de civils, hommes, femmes, enfants, bébés.


En poursuivant Israël, elle se livre à une inversion victimaire, accusant l’agressé au lieu de l’agresseur. Au mépris des faits, elle l’accuse de génocide !

Elle ne peut ignorer qu’Israël tente de limiter les pertes civiles en prévenant les populations avant ses frappes, tandis que le Hamas, en leur refusant toute protection, en les utilisant comme boucliers humains, vise au contraire à maximiser le nombre de victimes civiles.

La Cour Internationale de Justice aurait dû déclarer irrecevable la plainte de l’Afrique du Sud, d’autant que le Hamas fait partie des organisations terroristes qui ont bénéficié de transferts de fonds via l’Afrique du Sud !

Force est de le constater : depuis la Conférence de Durban, censée combattre le racisme mais transformée en carnaval anti-israélien et antijuif, l’Afrique du Sud joue un rôle déterminant dans la délégitimation d’Israël.

Pays emblématique de la lutte contre l’apartheid racial, il a validé l’accusation d’apartheid contre Israël, qu’il sait dénué de fondement. A présent c’est l’accusation mensongère de génocide qu’il brandit.

Il encourage ainsi la poursuite du terrorisme qui vise les civils au coeur même d’Israël.

Par cette accusation, il légitime le terrorisme islamiste dirigé contre Israël et ses supposés alliés, alimente son extension dans le monde entier et amplifie encore l’antisémitisme qui a littéralement explosé dès le 7 octobre, avant même toute riposte israélienne.

L’Allemagne a le courage de dénoncer l’opération de l’Afrique du Sud.
La France et l’Union Européenne doivent la condamner avec la même fermeté.

Paris, le 16 janvier 2024

Sur le passif de l’Afrique du Sud en matière de justice internationale :

https://www.lepoint.fr/monde/l-afrique-du-sud-et-son-appreciation-de-genocide-a-geographie-variable-13-01-2024-2549657_24.php

Otages israéliens : 100 jours !

Des événements sont prévus, à Paris et ailleurs, pour marquer ces 100 jours d’horreur que le monde n’aurait jamais dû tolérer.

Le Collectif 7 octobre appelle à un rassemblement.

“100 jours, 100 voix” à 16 h devant l’Opéra Bastille.

Le MPCT y sera et appelle à y participer, ainsi qu’à l’événement du Champ de Mars de 11 h à 17 h.

100 jours ! Qui peuvent devenir 1000 jours si on abandonne ces hommes, ces femmes, ces deux petits enfants israéliens aux mains du Hamas et de ses acolytes, comme les lycéennes de Chibok l’ont été aux mains de Boko Haram.

100 jours, 100 voix, divers happenings, une activité intense, de belles choses sont organisées depuis le 7 octobre.

Mais cela ne suffit pas.

Ces otages sont honteusement ignorés des médias, même nos trois compatriotes, même le bébé et son frère de 4 ans !

Alors que l’inversion victimaire a atteint un paroxysme, prétendant instrumentaliser la justice internationale, nous devons interpeller, l’ONU, la Croix-Rouge, les ONG qui se dérobent à leur mission et mettre le Qatar devant ses responsabilités. L’émirat prétend n’être qu’un pauvre intermédiaire incapable de faire pression sur le Hamas. Personne n’est dupe.

Stop au chantage, stop à l’impunité des criminels contre l’humanité du Hamas !

Bring back our girls, our boys, our children, our women , our men, old and young !

Agenda de début d’année

Depuis 2015, la période des fêtes se termine vite, les assassins de 17 victimes l’ont écourtée à jamais.

N’oublions pas les noms de ces victimes du terrorisme islamiste

– les 12 de Charlie Hebdo :

Cabu, Wolinski, Charb, Tignous, Honoré, Elsa Cayat, Bernard Maris, Franck Brinsolaro, Ahmed Merabet, Frédéric Boisseau, Michel Renaud, Mustapha Ourad

– les 4 de l’Hypercacher

Yoan Cohen, Yoav Hattab, Philippe Braham, François-Michel Saada

la jeune policière municipale de Montrouge

Clarissa Jean-Philippe.

Le 7 et le 9 nous irons et appelons à participer aux commémorations organisées à Paris rue Nicolas Appert par le Printemps Républicain et devant l’Hypercacher de la porte de Vincennes par le CRIF.

Le sort des otages israéliens marque 2024 comme le 7 octobre a marqué 2023.

Parmi eux, trois de nos compatriotes :

Ofer Kalderon, Ohad Yahalomi, Orion Hernadez-Radoux

Parmi eux aussi des femmes, des personnes très âgées.

Parmi eux les petits frères Bibas : Ariel 4 ans et Kfir un bébé qui vient d’avoir un an et dont d’ignobles individus ont l’inhumanité d’arracher les portraits affichés sur les murs de nos villes.

Le Comité International de la Croix Rouge, présent à Gaza n’a même pas été leur rendre visite, s’assurer qu’ils sont en vie, s’inquiéter de leur état de santé.
Honte à lui !

Nous soutenons les initiatives organisées pour leur libération et appelons à y participer : à Paris tous les vendredi midi au Trocadéro et aussi ces deux événements les 7 (happening flamenco) et 14 janvier (courir pour les otages.)