Dans le droit fil de notre mobilisation pour les lycéennes otages de Boko Haram, plein soutien du MPCT au rassemblement appelé par l’UEJF dimanche 22 octobre à 18 h, Place de Fontenoy 75007 Paris.

Hamas, libérez les otages !

Ce dimanche matin, une de mes connaissances m’a envoyé une vidéo et voici ce que j’ai diffusé à mes ami-e-s sur whatsap:

Bonjour, je viens de recevoir une vidéo intitulée : NOW YOU SEE ? Cette vidéo est destinée à certains journalistes français qui remettent en cause l’assassinat (car de toute évidence ces attaques ont été planifiées donc je ne parle pas de meurtres mais d’assassinats !)

Je refuse de transférer cette vidéo pour le moment afin de ne pas traumatiser davantage mes ami-e-s et ne pas rentrer dans le jeu des barbares qui jouiraient un peu plus de notre souffrance à la vue de la diffusion de leurs monstruosités, trop heureux de nous sidérer … Par contre, je la garde précieusement pour qui douterait de cette horreur absolue, de la monstruosité de ces barbares et là, je forcerai les sceptiques à voir ces images !

Prouver à celles et ceux qui refusent de l’entendre qu’une société entièrement dirigée par des hommes ne peut être qu’in-humaine, viscéralement mortifère et d’une barbarie infinie.

Il faut éradiquer le Hamas et toutes les organisations terroristes sans états d’âme.

Refuser de le faire serait condamner la Terre entière à charrier des fleuves de sang, des milliers de cadavres calcinés car, ne vous y trompez pas, vous qui n’êtes ni juives ni juifs, votre tour viendra après le nôtre !!!!
Après nos enfants, ce seront les vôtres qu’ils viendront violer, décapiter, démembrer, brûler vifs, si aujourd’hui vous n’êtes pas à nos côtés pour dénoncer ce qu’il s’est passé ces derniers jours en Israël. Ce sont vos propres enfants, la chair de votre chair que vous condamnerez alors, à plus ou moins brève échéance, à vivre cette barbarie. Pensez-y dès la seconde où vous recevrez ce message car sachez-le bien : le temps travaille contre vos enfants et vous-mêmes ! Car ces islamistes nous/vous l’ont dit et répété : ils aiment la mort comme nous aimons la vie !

Ils aiment la mort au point d’apprendre à compter à leurs enfants dans les écoles de Gaza, dès l’école primaire, en faisant ce genre de calculs : il y a 10 Juifs, j’en tue 7, il en reste combien ? Ils aiment la mort au point de faire jouer à leurs enfants des scènes de décapitation lors des fêtes de fin d’années scolaires. Ils aiment la mort au point d’utiliser leurs enfants comme boucliers humains. Ils aiment la mort au point de préférer tout l’argent (en partie celui de vos impôts) que leur envoient l’Union européenne et nos gouvernants pour offrir des salaires aux prisonniers en Israël qui ont du sang sur les mains et acheter des armes pour nous tuer plutôt que de l’utiliser comme ils le devraient pour améliorer les conditions de vie des Gazaouis et c’est ainsi qu’ils viennent ensuite récolter plus de fonds en vous apitoyant. Et vous ? Avez-vous seulement cherché à savoir ce qu’il en était vraiment ? Au fait, que savez-vous du sort réservé à leurs femmes, victimes de crimes dit “d’honneur” ? Que savez-vous du sort de leurs homosexuels balancés du toit de leurs immeubles ? Que savez-vous de celles-là et de ceux-là et d’autres encore qui auraient simplement voulu vivre sur cette partie de terre où pas un seul Juif n’a plus pu y vivre du jour où l’État d’Israël s’en était retiré ?

Je m’arrête ici pour le moment mais je ne cesserai de hurler la vérité car se taire après ce qu’il s’est passé et que de mes propres yeux j’ai aujourd’hui vu, même si ce n’est que partiellement, n’est plus possible sous peine de complicité !

Édith Taïeb

15 octobre 2023

Le 16 octobre, hommage était rendu à Samuel Paty, au square rebaptisé en son nom, face à la Sorbonne. Trois jours après l’assassinat de l’enseignant Dominique Bernard, à nouveau par un terroriste islamiste, l’émotion était immense. La détermination l’était autant, expression d’une authentique volonté de résistance.
La Présidente de Sorbonne Université et la Doyenne de la Faculté des Lettres avaient exprimé leur soutien.