Les réseaux sociaux face aux terroristes

Nul n’ignore à quel point les terroristes instrumentalisent les réseaux sociaux pour distiller leur propagande. Il y a huit jours, Le Nouvel Observateur révélait, exemples à l’appui, comment l’Etat Islamique utilise aussi les réseaux sociaux pour vendre les femmes et jeunes filles, notamment yézidies, qu’il a réduites en esclavage. (1)Concernés : Telegram, et dans une moindre mesure WhatsApp, les possibilités offertes par la technologie de Telegram étant particulièrement prisées des djihadistes. {{Aux Etats-Unis, une organisation israélienne porte plainte contre Facebook pour avoir toléré les messages d’incitation au terrorisme du Hamas. }}Elle le fait au nom des familles de cinq victimes du terrorisme, américaines ou israélo-américaines : Taylor Force, vétéran de l’armée US, poignardé à mort à Tel Aviv en mars 2016, Menachem Mendel Rivkin grièvement blessé dans une attaque au couteau en janvier 2016, Richard Leikin, assassiné dans un autobus de Jérusalem en octobre 2015 , la petite Chaya Zissel Braun âgée de 3 mois, assassinée en octobre 2014 par un terroriste du Hamas et Yaakov Naftali Frankel, un des trois adolescents israéliens kidnappés et assassinés par le Hamas en 2014. A suivre avec attention. V. W. (1) [ http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20160706.OBS4070/daech-vend-ses-esclaves-sexuelles-a-la-carte-sur-telegram-et-whatsapp.html->http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20160706.OBS4070/daech-vend-ses-esclaves-sexuelles-a-la-carte-sur-telegram-et-whatsapp.html]