Solidarité avec les Afghanes #Letusexist !


Manière de marquer le troisième anniversaire de leur prise de pouvoir, les talibans ont promulgué 35 articles de loi.

Pour « promouvoir la vertu et prévenir le vice », en conformité avec la sharia, c’est bien sûr encore et toujours les femmes que les talibans attaquent de front.

De nouveaux interdits s’ajoutent pour les femmes et adolescentes, déjà bannies des études, du travail, du sport.

Leur voix, parlée et chantée est désormais interdite, tout comme leur visage et leur corps


Condamnées au silence, à l’invisibilité, à la mort sociale, à la mort tout court, les Afghanes refusent d’être muselées.
Elles résistent encore, en exil comme dans leur propre pays.


Soutenons-les, en action et pas seulement en paroles !
Ne laissons pas reconnaitre et normaliser le régime criminel des talibans, dénonçons l’apartheid sexuel qui sévit en Afghanistan et en Iran.


Le MPCT soutient la championne Marzieh Hamidi, exilée en France, et #Letusexist !

https://x.com/i/status/1828090877493043596

“Durant trois ans, on a vu le statut des femmes aller [de mal en pis], et on est arrivés à un stade où il est inadmissible que le monde ne réagisse pas”. (Chela Noori, de l’association Afghanes de France sur France 24).

Les Afghanes qui se filment entrain de chanter font preuve d’un courage extraordinaire.

“Vous avez peur de cette voix, et cette voix sera chaque jour plus forte”
(Taiba Sulaimani,sur X).

https://x.com/i/status/1828260580895162480

Soyons solidaires jusqu’à ce qu’Afghanes et Iraniennes soient libres de chanter, danser, parler en public, étudier, travailler, faire du sport, montrer leur visage et leur chevelure !

Victoria Wilson

Communiqué : le MPCT va entamer une procédure contre l’ONU


Le MPCT va entamer une procédure contre l’ONU
-pour discrimination en raison de la nationalité et de la religion
-pour apologie du terrorisme

Le MPCT, Mouvement Pour la Paix et Contre le Terrorisme, apporte depuis plus de vingt ans son soutien aux victimes du terrorisme et se bat pour la reconnaissance de leurs droits.

La « Journée Internationale de Souvenir et d’Hommage aux Victimes du Terrorisme » de l’ONU, le 21 août, a suscité notre indignation sa décision de passer sous silence les victimes israéliennes de l’attaque terroriste islamiste massive du 7 octobre !

Différents panneaux dans le hall d’entrée de l’ONU à New York présentent au visiteur une sélection de victimes du terrorisme. Nulle référence au terrorisme subi par Israël depuis des décennies et en particulier le 7 octobre n’y est faite.
L’argument selon lequel cette exposition avait été validée en 2022, sans mise à jour depuis, est irrecevable.

Il y a bien eu la volonté d’effacer les victimes israéliennes – et la responsabilité des terroristes islamistes se réclamant de la cause palestinienne, qui se sont déchaînés contre elles de la façon la plus barbare.

C’est la suite d’une longue stratégie de diabolisation et de délégitimation poursuivie par l’ONU.
Année après année, Israël, très petit état et unique état juif, y est condamné par plus de résolutions que tous les autres états du monde. Les conséquences ne sont pas anodines : ce tir de barrages de résolutions fait des dégâts en termes d’antisémitisme et de promotion du terrorisme dans le monde.

L’ONU, aujourd’hui composée à 68% de pays non démocratiques, a démontré son incapacité à contrôler l’UNRWA qui a plus que failli, avec des structures logistiques utilisées par les terroristes, ses employés ayant participé directement au pogrom du 7 octobre et son absence totale de contrôle des subventions internationales. Celles-ci ont servi à enrichir les leaders du Hamas et à construire des tunnels destinés à tuer le plus de Juifs possible.

Les dirigeants de l’ONU portent une responsabilité et doivent l’assumer.

En condamnant systématiquement Israël, seul état démocratique de la région, en banalisant les atrocités commises par les terroristes du Hamas, l’ONU crée un contexte de discrimination à l’encontre du seul état juif.

D’autre part, en ne condamnant pas et en oblitérant les crimes perpétrés contre des civils israéliens le 7 octobre, mais également antérieurement, selon une stratégie élaborée par les terroristes sur plusieurs mois et années, l’ONU manifeste un parti pris de soutien et d’apologie du terrorisme.

Toutes choses réprimées par la loi.

C’est pourquoi le MPCT va déposer plainte contre l’ONU, hélas devenue garante de l’exclusion d’Israël et de la légitimation du terrorisme.

Antonio Guterres, Secrétaire Général et Francesca Albanese, Rapporteure Spéciale, devront répondre de leurs responsabilités respectives.

Des victimes du terrorisme et/ou de l’antisémitisme, des associations de défense de ces victimes, pourront se joindre à cette plainte.

Depuis des années nous dénonçons les dérives de l’ONU. Il est temps de les sanctionner.

Paris, le 23 août 2024

Tribune : Silence pour les victimes, empathie pour les terroristes

[Nous publions, avec le retard dû aux vacances de notre petite équipe, ce texte du 9 août.
Il garde toute son actualité alors qu’UNRWA et ONU accumulent les fautes lourdes face aux crimes des organisations terroristes, Hamas en tête.]

Au cours de la semaine dernière ont été tués Fouad Chokr et Ismael Haniyeh, respectivement chef militaire et chef politique des mouvements islamistes Hezbollah et Hamas, et ce dans des frappes attribuées à Israël.

Ces actions s’inscrivent dans le contexte des attentats de masse commis sur le sol israélien le 7 octobre, avec 1200 personnes assassinées et près de 260 autres pris en otage (il en resterait actuellement environ 120, dont l’état est encore inconnu à ce jour).

Le MPCT exprime son indignation vis-à-vis de la réaction de certains élus et personnes politiques, dont Sophia Chikirou de LFI qui a cru bon de “rendre hommage” au chef du Hamas en le présentant comme “martyr” et “résistant”. Ce type de déclaration, qui n’est hélas pas une première, est une forme d’apologie du terrorisme qui a d’ailleurs déjà suscité une plainte de la part de la Licra et de l’UEJF. Indépendamment de ce qu’on peut penser de la situation géopolitique du Proche-Orient, il n’est pas acceptable que l’on glorifie ainsi un mouvement terroriste ouvertement antisémite et responsable du pire massacre de Juifs depuis la seconde guerre mondiale.

De même, il faut dénoncer les atermoiements des institutions internationales, en premier lieu l’ONU, qui n’ont pas su ou voulu dénoncer dès le mois d’octobre les crimes commis par le Hamas.

Alors qu’une condamnation immédiate de leur part aurait mis une pression diplomatique sur le mouvement islamiste et sur ses parrains iraniens et qatariens, le Conseil de sécurité ainsi que les Cours de justice internationale ont préféré garder le silence pendant des mois entiers. Leurs tardives interventions se sont révélées faussement équilibrées et impartiales, mettant sur le même plan les crimes du Hamas et la riposte légitime d’Israël. Une équivalence hypocrite et paresseuse entretenue par beaucoup trop de médias dont la complaisance à l’égard du Hamas s’est encore illustrée avec les qualificatifs de “modéré” attribués à Ismael Haniyeh, qui s’était pourtant réjoui des massacres commis sur la population israélienne le 7 octobre.

Nous rappelons ici les préalables à tout apaisement de la situation :

• La libération de tous les otages déportés à Gaza le 7 octobre.
C’est une exigence absolue. Tous doivent rentrer en Israël, les enfants, les femmes et les hommes, les jeunes et les vieux, les vivants et les morts ! 

• La destruction des stocks de roquettes et autres armes offensives, détenus aux^portes d’Israël par les groupes terroristes palestiniens et par le Hezbollah. 

• La mise de l’UNRWA face à sa responsabilité, pour sa duplicité, sa complicité avec le terrorisme et l’enseignement de la haine.
Il faudra bien s’interroger sur la pertinence de cette officine onusienne (alors qu’il existe un Haut-Commissariat aux Réfugiés) et en particulier du statut de “réfugié palestinien” dont le caractère quasi-héréditaire, unique au sein des populations déplacées, a joué un rôle néfaste dans la prolongation du conflit israélo-arabe.

• Le soutien à la résistance héroïque des Iraniennes et des Iraniens qui aspirent à la liberté et à la paix, et qui depuis le mois de septembre 2022 s’opposent, au péril de leurs vies, au régime des mollahs très largement responsable du 7 octobre.

Thomas Dresler

9 août 2024

Amnesty International champion de l’inversion des valeurs

            Il y a hélas longtemps qu’Amnesty International bafoue les valeurs qui ont présidé à sa création.
Le rapport que l’ONG vient de commettre est dans le droit fil de son compromis avec l’islamisme.
Accuser la France de discrimination envers les sportives musulmanes est profondément injuste. C’est une calomnie qui conforte l’offensive de l’islam politique dont le voile imposé aux femmes est un marqueur-clé.
Désigner notre pays comme ennemi des Musulmanes, c’est prendre une lourde responsabilité. Nous savons hélas que ce type d’accusations peut inspirer des passages à l’acte terroristes.

Le MPCT est cosignataire du communiqué commun adopté à l’initiative de la LDIF en réponse au rapport d’Amnesty International

Communiqué commun à l’initiative de la   LIGUE DU DROIT INTERNATIONAL DES FEMMES,

LES CITADELLES, LIBRES MARIANNES,  NOROUZ, MOUVEMENT POUR LA PAIX ET CONTRE LE TERRORISME, REGARDS DE FEMMES, THIS IS A REVOLUTION, TRIBUNE AZAD IRAN LAIQUE, LIGUE DU DROIT INTERNATIONAL DES FEMMES

 

Respecter la charte Olympique et les sportives serait du racisme selon Amnesty International ?

Le 16 juillet, Amnesty International a rendu public un rapport de 30 pages intitulé « ON NE RESPIRE PLUS. MEME LE SPORT ON NE PEUT PLUS LE FAIRE » avec comme sous-titre :« les atteintes aux droits humains des femmes et des filles musulmanes causées par l’interdiction du foulard dans le sport en France ». La raison principale de la colère d’AI : l’annonce par la ministre française des sports et des Jeux olympiques, en septembre 2023 sur France 3, que « les représentantes de nos délégations dans nos équipes de France, ne porteront pas le voile ». AI qualifie cette interdiction de « violation par la France de la Charte Olympique ».


Violation de la Charte, vraiment ?

Pourtant la règle 50.2 affirme bien qu’ « aucune sorte de démonstration ou de propagande politique, religieuse ou raciale n’est autorisée dans un lieu, site ou autre emplacement olympique ».

Pourtant le guide publié par le CIO sur la liberté d’expression des athlètes aux Jeux de Paris 2024 [1] cite explicitement la règle 50.2 ,  affirmant le caractère « fondamental de l’obligation de neutralité et de la nécessaire séparation du sport de toute interférence politique, religieuse ou d’un autre ordre » tout en précisant les moments où les athlètes peuvent s’exprimer ( conférence de presse, réseaux sociaux, interviews, mais surtout pas le moment des performances et des cérémonies).

Quant à considérer que l’interdiction faite aux athlètes femmes de porter le hijab est discriminatoire, c’est au contraire le fait d’admettre cette possibilité qui le serait. En effet le CIO dans son rapport « Gender Equality Review project »,[2] recommande que les uniformes des athlètes correspondent aux seuls critères sportifs et non pas à des différences injustifiables ».

Enfin, prétendre que l’interdiction du signe ségrégatif emblématique imposé par les théocraties islamistes, y compris sur le stade, porterait « atteinte aux droits humains des femmes et des filles musulmanes » est une essentialisation inacceptable et une insulte à toutes celles qui luttent, souvent au péril de leur vie, pour refuser cet apartheid

AI n’a raison que sur un point : la France est bien seule ! Mais ce qu’AI ne veut pas reconnaitre c’est que la position de la France est conforme aux véritables valeurs olympiques.

Paris, le 17 juillet 2024

                                               Site LDIF : www.ldif.asso.fr,
                                
[1] https://olympics.com/athlete365/app/uploads/2024/01/2023.12.01.-OC-Athlete-expression-guidelines-amendment-EN.pdf

[2] https://olympics.com/athlete365/app/uploads/2021/02/IOC-Gender-Equality-Report-March-2018_ENG-1.pdf               

Photo Marie-Hélène Le Ny : Rassemblement du 23 juin organisé par le Comité Paris 2024 pour le respect de la Charte Olympique
                                                            

Paris 23 juin 2024 : marche pour le respect de la Charte Olympique en soutien aux Iraniennes et aux Afghanes

Plus que jamais, le MPCT, engagé dans le Collectif Paris 2024, appelle à participer à la marche du 23 juin en soutien aux Iraniennes et aux Afghanes !


Alors que la France est plongée dans une folle tourmente, défendre la Charte Olympique contre les renoncements du CIO, refuser que mollahs et talibans imposent leur loi aux Jeux Olympiques de Paris est une nécessité absolue.


Plus que jamais, défendre les droits des Iraniennes et des Afghanes, discriminées, persécutées, emprisonnées mais toujours en résistance contre les régimes islamiques, est un devoir.

Soyons au rendez-vous de ce parcours de la flamme

dimanche 23 juin à 14 h 30 Place de la Bastille – côté Bd Richard Lenoir

départ du cortège vers la République à 15 h

avec les magnifiques sportives afghanes que sont Shoukria Haidar, Friba Rezayee et Marzieh Hamidi et avec le concours de Mahyar Monshipour Kermani, champion de boxe né en Iran, rigoureux Conseiller sportif du Ministère de la Jeunesse et des Sports.

Ci-dessous le communiqué du Collectif Paris 2024.

Annie Sugier et Soukria Haidar, torche en main,  à Marseillederrière la banderole du Collectif Paris 2024.

 

Une équipe de Paris 2024 devant  la Statue de la Liberté du Jardin du Luxembourg avec une jeune Iranienne solidaire de la résistance des femmes en Iran. (NB Photo-montage, le déploiement d’une banderole étant interdit en ce lieu.)

Communiqué

LE COLLECTIF PARIS 2024 ORGANISE UN « PARCOURS DE LA FLAMME »
SYMBOLIQUE POUR UN STRICT RESPECT DE LA CHARTE OLYMPIQUE (règle
50.22) EN SOLIDARITE AVEC LES IRANIENNES ET LES AFGHANES !

Cette action aura lieu de la Bastille à la République, dimanche 23 juin à 15h.

Outre la solidarité avec les Iraniennes et les Afghanes en proie à une dictature
religieuse les privant de tout droit, ce rassemblement a pour objet :

• de rappeler au CIO que son premier devoir est d’exiger le respect de la Charte Olympique.
Or, celle-ci pose le principe qu’aucune expression politique, religieuse ou raciale, ne
saurait être compatible avec l’esprit olympique (art.50-2) et avoir de place aux JO. Force
est de constater l’aveuglement volontaire du CIO devant la multiplication des habits à
connotation politico-religieuse affublant les rares athlètes féminines issues des
théocraties islamistes.

• de rappeler aux organes des Nations-Unies l’urgence d’étendre la Convention de 1973
qualifiant de crime contre l’humanité l’apartheid racial tel qu’il avait été institué en Afrique
du Sud, au cas de l’apartheid entre les sexes, imposant aux femmes un statut
d’infériorité et leur invisibilité dans l’espace public.

Contacts : 06 38 39 42 92/ et 0695282737
……………………………………………………………………………………………
Le COLLECTIF PARIS 2024, a été créé à l’initiative de la Ligue du Droit International des Femmes, lors du lancement de la candidature de Paris pour les Jeux Olympiques et
Paralympiques de 2024.
Le COLLECTIF PARIS 2024 s’appuie sur des réseaux d’associations au niveau national et international : Le Lobby Européen des Femmes (LEF) comprenant 32 coordinations nationales et 17 organisations européennes ;Le Front Féministe international
(FFI) comptant 413 organisations et réseaux dans 7 pays
Des associations et obédiences du Collectif Laïque National (CLN).
Ainsi que des associations œuvrant pour le respect des droits humains, en Afghanistan et en Iran :
Ligue des Femmes Iraniennes, MPCT- Mouvement pour la Paix et contre le Terrorisme ; NEGAR -Soutien aux femmes d’Afghanistan ; NOROUZ – Association pour une nouvelle ère en Iran ; Tribune Azad Iran Libre et Laïque ; Collectif This is a Revolution

Soutien à l’organisation de la marche :

 

Une ombre sur la liberté

En apprenant le 2 juin que Motaz Azaïza était le lauréat du Prix Liberté 2024, décerné par la Région Normandie et l’Académie de Normandie, un jury internationale et des jeunes du monde entier nous avons alerté et interpellé autant que faire se pouvait en un temps aussi court, à tous les niveaux, jusqu’au Président de la République.
On a un peu fait bouger les lignes, des députés ont appelé à l’annulation, des personnalités se sont mobilisées.

Merci à toutes et à tous pour ces efforts de dernière minute.

Mais les lignes n’ont pas assez bougé.

Le 80 ème anniversaire du Débarquement qui a permis de vaincre l’Allemagne nazie, avec les derniers boys survivants, a un goût amer, il est entaché par la récompense d’un photojournaliste partisan d’une organisation criminelle, terroriste et antisémite.

Motaz Azaïza a bien reçu le Prix Liberté 2024 ce 4 juin : liberté de nuire pour lui, honte pour nous.

La Région Normandie et son Président Hervé Morin ont persisté. Pourquoi se montrer regardant quand le Hamas n’a tué que 43 Français et n’en détient que deux en otages ?
On connaissait l’islamo-gauchisme, on rencontre l’islamo-droitisme.

Au Zénith de Caen, le Président du Jury, un peu gêné,a bien essayé de parler des victimes du 7 octobre : quel manque de tact, sifflets dans la salle !

Motaz Azaïza, bien poli, a expliqué qu’il est occupé depuis 76 ans ( il fait bien jeune pour son âge) et précisé qu’il n’est pas un terroriste.
Mais bien sûr que non, ce n’est pas un terroriste, air connu, d’ailleurs il est Palestinien, il ne peut être que résistant, comme les assassins du Hamas qu’il soutient.

Il a pris soin d’effacer ses posts les plus compromettants mais n’a pu effacer les captures d’écran de ses posts du 7 octobre où il annonçait déjà #Gaza genocide, en bon pratiquant de l’inversion victimaire.

Indignation devant le soutien que lui ont apporté des syndicats de journalistes, au mépris de toute déontologie.

Désolation devant ce lavage de cerveau imposé à la jeunesse, trompée par une propagande agressive.

Que faisait dans cette galère la superbe rappeuse afghane, Sonita , Prix Liberté 2021 et interprète de “Stand Up”‘, chanson dédiée à la liberté, avec un beau clip tourné sur les plages du Débarquement ?

https://www.youtube.com/watch?v=LZvrXzRlBMM

Pour elle qui combat courageusement les talibans, quel paradoxe de se trouver associée au promoteur d’un nouvel état taliban, pour reprendre le très juste commentaire de Salman Rushdie.

Elle était à sa place, l’erreur de casting c’était le lauréat 2024.

Il nous faut redoubler de vigilance , améliorer la communication entre nous pour ne pas apprendre ce genre de scandale au dernier moment !
Et il y en aura d’autres. Le pire serait de les laisser passer sans réagir.

Le combat continue, il n’est pas facile, nous le savions en nous engageant !

Huguette Chomski Magnis

Secrétaire générale du MPCT, coordinatrice du Collectif Contre le Terrorisme

Communiqué commun du 26 mai : Orion Hernandez-Radoux, martyr du Hamas


L’annonce de la mort d’Orion Hernandez-Radoux, Franco-mexicain de 32 ans, nous indigne et nous bouleverse.

Son corps a été retrouvé à Gaza le 24 mai par l’armée israélienne, avec ceux de deux autres otages du Hamas, Hanan Yablonka et Michel Nissembaum.

Orion était l’un des trois otages français du Hamas, dont nous avons depuis des mois affiché et brandi les portraits.

C’était aussi l’ami de Shani Louk, la jeune Israélo-allemande avec laquelle il était au festival Nova.
Comment oublier le corps supplicié de Shani exhibé à Gaza le 7 octobre ?

La mort de ce jeune couple est un symbole, celui de l’assassinat de la beauté, de la fantaisie, de l’amour de la musique et de la liberté.

En kidnappant massivement des otages en Israël le 7 octobre, les criminels contre l’humanité du Hamas ont aussi enlevé les corps de victimes qu’ils venaient d’assassiner.

Depuis, ils se livrent à un ignoble et cruel chantage.

Pourtant, ce n’est pas pour dénoncer leurs crimes que des foules manifestent et que des campus sont occupés.

Les otages enlevés le 7 octobre parce que juifs, ou parce que se trouvant en Israël, ont été abandonnés par la communauté internationale, comme l’ont été les lycéennes de Chibok, enlevées par Boko Haram il y a 10 ans !

Ce n’est pas l’exigence de leur libération qui s’affiche sur les murs des facultés mais celle d’une Palestine ” de la mer au Jourdain” – formule qui signifie que les Juifs y seront soit tués, soit chassés, soit réduits au statut de dhimmis.

Où est la conscience universelle ?

Elle ne peut accepter la banalisation et la légitimation de la prise d’otages.

Elle ne peut tolérer que les plus abominables crimes terroristes soient qualifiés d’actes de résistance.

Elle ne peut accepter qu’une justice internationale défaillante accorde l’impunité au Hamas et à ses parrains.

Elle ne peut accepter l’inversion victimaire, les accusations de génocide et de massacres d’enfants, prétextes au lynchage d’Israël.

Ensemble, nous le réaffirmons :

Tous les otages déportés à Gaza doivent rentrer en Israël : nos compatriotes, Ohad Yahalomi et Ofer Kalderon comme les autres, les jeunes et les vieux, les femmes et les hommes, les vivants et les morts !

Justice doit être rendue à toutes les victimes du 7 octobre !

Nous demandons au gouvernement français et aux gouvernements européens de prendre une initiative forte pour l’exiger !

Paris, le 26 mai 2024

Crédit photo : i24news, avec nos plus sincères condoléances aux familles de Shani et Orion.

Premières associations signataires :

Mouvement Pour la Paix et Contre le Terrorisme
Collectif 7 octobre
Ligue du Droit International des Femmes
Observatoire Européen des Fondamentalismes
Comité Soudan
Dhimmi Watch
SASSOUN
Alliance Internationale des Femmes
Association des Femmes de l’Europe Méridionale
Association d’éducation populaire ACTISCE
PEREC, pour une école républicaine et citoyenne
Libres MarianneS
Amitié Judéo-Chrétienne de France
Collectif No Silence
Tous 7 octobre
Tribune Azad Iran Libre pour la Démocratie
Centre Simon Wiesenthal-Europe
Collectif des Français victimes du terrorisme palestinien
….

Contact Collectif Contre le Terrorisme : mpctasso@aol.com 0666264223

Il faut sauver le rappeur Toomaj ! Rassemblement parisien dimanche 28 avril à la Bastille

Le MPCT apporte son plein soutien au rassemblement pour sauver Toomaj Saheli, figure emblématique de la révolution Femme Vie Liberté, condamné à mort par le régime des mollahs ! Il ne doit pas rejoindre la longue liste des innocents pendus pour avoir manifesté, chanté la liberté et la résistance.

Que les rappeurs, chanteuses, chanteurs rassemblés aux Flammes jeudi soir n’aient pas eu un mot pour Toomaj est une honte absolue.

Depuis quelques uns ont sauvé l’honneur.

Toomaj est innocent : vie sauve et libération !


Nous appelons à participer massivement au Rassemblement de la Bastille à 15 h!

Tribune : APPEL AU RÉVEIL DE LA CONSCIENCE PUBLIQUE

[ Edith Taïeb, militante féministe spécialiste d’Hubertine Auclert, nous adresse cette contribution que nous publions bien volontiers.]

Voici des images montrant successivement des étals couverts de légumes et de fruits à Gaza puis une foule de Gazaouis paraissant profiter des joies de la plage, à Deir al-Balah, et je pense immédiatement que, pendant ce temps, les otages israélien-ne-s, du plus jeune bébé, à peine âgé de quelques mois au plus âgé, octogénaire, capturé-e-s il y a déjà six mois par le Hamas endurent le martyre si elles et ils n’ont pas déjà succombé aux pires traitements (de la privation de nourriture aux tortures sexuelles les plus barbares) ! Et cela, avec le silence complice des citoyennes et citoyens des pays qui se disent « civilisés » et qui se drapent dans leur bonne conscience en pratiquant l’inversion victimaire qui est la marque de la perversion des esprits, à l’heure où les gouvernants des pays pseudo-démocratiques, manifestement peu soucieux du bien-être de celles et ceux qui les ont élus, brillent par leur lâcheté et capitulent devant ceux qui, de leur propre aveu, ne jouissent qu’en propageant la mort !!!

Mais quand donc vous réveillerez-vous, vous qui fermez les yeux devant tant d’ignominie ? Pensez-vous seulement au monde que vous allez laisser à vos enfants et au reste de votre descendance ?

Quand donc comprendrez-vous que l’enfer vécu par les Iranien-ne-s, les Afghan-e-s, les Israélien-ne-s victimes du Hamas, dont en Europe nous avons commencé à avoir des signes avant-coureurs il y a plusieurs années déjà et qui ne font que se multiplier, prouve que nos chères libertés, acquises de haute lutte par les générations qui nous ont précédé-e-s, sont d’une extrême fragilité face à l’armée de ceux qui ont pour idéal de nous en déposséder ? Avez-vous donc la mémoire si courte pour avoir déjà oublié les enfants de Toulouse, le Bataclan à Paris, le 14 juillet à Nice, Noël à Strasbourg, Mila exfiltrée de son lycée, Paty décapité et toutes les autres victimes de ces terroristes islamistes en France et en Europe, dont la liste, qui n’a cessé de s’allonger depuis les tortures infligées à Ilan Halimi, s’allonge aujourd’hui à un rythme accéléré ?

Quand donc comprendrez-vous que par votre silence vous n’avez fait et ne ferez que précipiter l’arrivée au pouvoir de ces masculinistes assoiffés de sang et d’argent qui haïssent notre liberté et qui, se prenant pour les délégués de leur dieu, se comportent comme des fauves parce qu’élevés dans la croyance folle qu’en tant qu’hommes, ils détiennent un pouvoir de droit « divin » sur les femmes et qui, de ce fait, s’arrogent sur elles droit de vie et de mort, semant ainsi la terreur partout où ils ont pris le pouvoir, prêts à agir de même partout où ils sont déterminés à prendre le pouvoir, c’est-à-dire sur l’ensemble de la planète ?!

Réveillez-vous !!! Exigez de vos gouvernants que vos impôts cessent d’alimenter les caisses du Hamas et de l’UNWRA ! Exigez de vos gouvernants qu’eux-mêmes cessent de se comporter en dhimmis, en soumis face aux mollahs qui dirigent la république islamique !

Rappelons à Macron et à Séjourné que l’État n’est pas leur propriété, qu’il leur incombe de ne pas déshonorer davantage la France en se faisant plus longtemps complices des mollahs et que leur rôle est de protéger nos intérêts en veillant au respect des principes de notre République, à commencer par la liberté et la laïcité !
Édith Taïeb

10 ans ! They did not bring back all the Chibok girls


A Abuja et à Lagos deux émouvants rassemblements ont marqué les 10 ans de l’enlèvement de 276 lycéennes de Chibok, majoritairement chrétiennes, par les islamistes de Boko Haram.

Témoignage de Rebecca, relâchée en 2016

10 ans ! 3652 jours …

Il eut lieu dans la nuit du 14 au 15 avril 2014, surprenant dans leur sommeil des jeunes filles spécialement revenues dans leur établissement, malgré le risque encouru, pour passer leur examen de fin d’année.

Ce n’était ni le premier ni le dernier des enlèvements de masse perpétrés par ces rejetons de l’Etat Islamique mais ce fut le plus emblématique, grâce à l’extraordinaire mobilisation des mères de Chibok.

Avec la même ténacité que ces Mères de l’espoir qui se rassemblent inlassablement pour les otages israéliens, les jeunes Israéliennes en particulier, elles organisèrent, tout de rouge vêtues, manifestation sur manifestation.
En créant Bring Back Our Girls, elles ont réussi à médiatiser le mouvement, à mobiliser des célébrités dans le monde entier.

Au fil des ans, le soutien s’est effiloché, jusqu’à l’oubli presque total, y compris au Nigeria.

Que sont devenues les filles de Chibok ?

Plusieurs ont pu échapper à leurs ravisseurs à différentes occasions, du tout début jusqu’à 2022 pour les dernières.

D’autres ont été libérées par des opérations de l’armée nigériane.

D’autres ont été échangées contre des terroristes de Boko Haram au terme de négociations. Des innocentes contre des assassins, tels sont les termes des accords avec les preneurs d’otages, Boko Haram ou Hamas.

Et puis il y a celles qui ne sont pas revenues. 91 manquent toujours à l’appel.

Certaines ne sont hélas sans doute plus en vie.

Le sort des jeunes otages a été terrible.
Converties de force, « mariées » de force, violées, humiliées, affamées, soumises à l’esclavage. Certaines ont succombé aux mauvais traitements ou ont été tuées au cours de combats. D’autres ont même été envoyées, bardées d’explosifs, se faire exploser pour commettre des attentats.

On estime que 82 sont encore captives.

Comme environ 1400 enfants et adolescents puisque les enlèvements massifs d’élèves se poursuivent encore ! Les islamistes étant rejoints par de simples bandits qui kidnappent contre rançons – la frontière entre délinquants et djihadistes étant assez poreuse, au Nigeria comme ailleurs.

Le 21 février 2018 eut lieu l’enlèvement des lycéennes de Dipcha. Elles étaient majoritairement musulmanes et elles furent relâchées assez vite.Saut Leah Sharibu.
Chrétienne, cette adolescente d’à peine 14 ans refusa de se convertir, ce qui me condamna à rester captive !

Le programme éducatif des islamistes de Boko Haram se rapproche de celui des talibans d’Afghanistan ou du Pakistan.

Les écoles sont des cibles privilégiées, celles de filles tout spécialement.
Enseignantes, élèves et étudiantes, risquant leur vie en s’y rendant.

Le livre (Boko, pour l’anglais book) est interdit par l’Islam (Haram).

Tout enseignement non coranique est banni, même pour les garçons.

Pour les filles, pas d’enseignement du tout, la maison et le mariage précoce doivent être leur lot.

Cela semble délirant, absurde et à des années-lumière de notre monde.

Certes, mais des islamistes n’essaient-ils pas déjà d’imposer des interdits à l’enseignement public par la menace, l’intimidation et l’ultra violence ?

La sécurisation des établissements scolaires est un impératif, partout dans le monde, tout comme le droit à l’éducation pour les filles et les garçons.

Bring Back our girls aujourd’hui

Parmi les rescapées de Chibok, certaines ont repris leurs études, ont eu des diplômes et reconstruit leur vie.

Pour d’autres le traumatisme reste trop grand.

Certaines ont été rejetées, surtout quand elles sont revenues avec des enfants nés de leurs « mariages » avec des terroristes de Boko Haram.

Il y a un mouvement d’entraide pour permettre leur réinsertion.

Témoignage de Grace, libérée par l’armée en 2017, membre active de la Chibok Schoolgirls Foundation

L’association des familles de Chibok continue sa mission.

Depuis l’enlèvement, 48 parents sont morts, usés par le chagrin. Trois ont été tués par des terroristes.

Les familles des disparues sont tenaillées par l’angoisse et espèrent toujours revoir leurs filles vivantes.

Leur calvaire doit cesser, comme celui de toutes les familles d’otages au Nigeria comme en Israël.
Ne les oublions pas. Honte à qui ignore leur souffrance et banalise la prise d’otages !

Victoria Wilson

Copyright photos : Bring Back Our Girls