Communiqué du MPCT : l’habit ne fait pas le moine

Le nouveau maître de la Syrie, Al Charaa, alias Abou Mohamed, a troqué sa tenue djihadiste et militaire contre un costume.

Mais un islamiste reste un islamiste.

L’ancien djihadiste a le sang de centaines de nos compatriotes sur les mains. Il a même inspiré les frères Kouachi, assassins de Charlie Hebdo et son groupe était en contact avec le tueur de Samuel Paty.

En quête de respectabilité, pour obtenir une légitimité internationale et la levée des sanctions prises contre le pays, il veut apparaître comme un modéré mais un islamiste modéré, cela n’existe pas.

Ce n’est pas un hasard que son premier discours ait été tenu dans une mosquée rendant invisibles les femmes

Dans son gouvernement « d’inclusion », sur 23 membres ,dont une seule femme, 4 seulement sont issus d’une minorité, avec des portefeuilles insignifiants.
Le nettoyage ethnique bat son plein. Les exactions commises par ses milices ont déjà fait1700 morts chez les Alaouites et tout récemment plusieurs centaines chez les Druzes et les Chrétiens.

Quant aux femmes, elles ont été les grandes oubliées de la visite du 7 mai.

Or les jeunes femmes non voilées ont été particulièrement visées dans les attaques de minorités. Des jeunes Kurdes ont été enlevées, des Chrétiennes menacées. Des étudiantes alaouites ont été assassinées, leurs corps ont été traînés dans les rues.

Le 5 mai, à Damas, des miliciens ont attaqué un restaurant coupable de ne pas pratiquer la séparation des sexes. Ils ont frappé les clients, s’acharnant le plus sur les femmes, non voilées et vêtues « à l’occidentale ».

Quelle naïveté de ne pas voir que le but est la création d’un état islamique de plus dans la région ! Le précédent des talibans devrait pourtant nous alerter : n’avaient-ils pas promis qu’ils avaient changé avant d’imposer aux Afghanes le pire apartheid sexuel qui soit ?

Légitimer le terrorisme et la violation des droits des femmes en recevant Al Charaa à l’Élysée, haut-lieu symbolique de notre devise, Liberté Égalité Fraternité, est une faute politique impardonnable du Président Macron.

Avec le soutien de Libres MarianneS

Communiqué de presse du Comité de soutien à Boualem Sansal

Le MPCT se mobilise avec le Comité de soutien à Boualem Sansal alors que l’inquiétude ne cesse de croître.
Boualem Sansal est non seulement injustement détenu mais en danger !
Sa libération et son rapatriement sanitaire s’imposent !

Le texte du communiqué du Comité:

Fortes inquiétudes au sujet de la protection de Boualem Sansal

Depuis plusieurs jours, des informations sérieuses et concordantes font état des risques pesant sur la
sécurité de Boualem Sansal, actuellement en détention en Algérie et ce depuis le 16 Novembre dernier.

Les conflits internes au pouvoir algérien ne seraient pas sans lien avec cette mise en danger de notre
compatriote.
Notre préoccupation est vive et incite à la plus grande vigilance face à une situation
suffisamment alarmante pour que notre Comité de Soutien demande solennellement aux autorités
françaises d’obtenir auprès de leurs homologues algériens toutes les garanties requises quant à la
protection de la vie de notre concitoyen.

Nous appelons par ailleurs le Président Tebboune à libérer
sans délai ni condition Boualem Sansal et à assurer son rapatriement sanitaire en France.”

Communiqué du MPCT : Justice pour Aboubakar Cissé !

L’assassin d’Aboubakar Cissé, le malheureux fidèle de la mosquée de Grand Combe dont il avait filmé l’agonie, a été arrêté.
Puisse-t-il être jugé et condamné comme l’horreur de son crime, le mérite.

Il s’agit d’un acte antimusulman dont le mode opératoire barbare est calqué sur les crimes islamistes.
L’angoisse est immense car le risque d’engrenage demeure pour la France et pour le monde.

Puisse la Charte Républicaine adoptée le 26 mars nous aider à combattre le racisme, l’antisémitisme et l’apologie du terrorisme !
https://www.pourlarepublique.com/

Ne laissons pas les “escrocs de l’islamophobie”, comme les nommait Charb, continuer à instrumentaliser les Musulmans.

Rappelons-nous qu’en pleine tuerie antijuive à l’Hypercacher, juste après le massacre de Charlie commis pour punir le “blasphème”, ceux-ci voyaient déjà dans “l’islamophobie” le principal danger.
Après les assassinats du Père Hamel dans son église en 2016 et des trois victimes de la basilique Notre Dame de Nice en 2020, l’heure n’était pas à la dénonciation d’une quelconque “christianophobie”.

Sans complaisance pour les tartuffes, les humanistes doivent combattre tous les discours de haine, d’où qu’ils viennent.

Paris, le 28 avril 2025

La Ligue du Droit International des femmes s’associe à ce communiqué.

ISRAËL mars 2025 : Entre l’horreur et l’espérance

Jacques FIORENTINO 5 avril 2025

Je me suis rendu en Israël dans le cadre d’un voyage de solidarité organisé par
NETSAH, association qui vient en aide aux familles défavorisées et en particulier
aux enfants.

Le voyage fut riche de rencontres émouvantes dans des lieux éprouvés et
symboliques.

Du Golan et du Nord déserté en grande partie où se font encore sentir les
combats avec le Hezbollah si proche, œuvrant depuis des années sous le regard
des forces de l’ONU à la lâche cécité.

Nous avons rencontré les familles des 12 enfants druzes tués par le Hezbollah
alors qu’ils ne faisaient que jouer au football. Leurs courage et leurs résilience
étaient impressionnantes.

Une rencontre avec des membres du FORUM DES OTAGES avec une
intervention poignante et forte d’AYELET SAMERANO, mère de YONATHAN,
toujours retenu en otage depuis le 7 octobre.

Elle combat sans faille l’UNRWA complice des terroristes puisqu’un travailleur
social de cette organisation a participé à l’enlèvement du corps de son fils.

Encore d’autres rencontres toujours aussi intenses dont le père d’un homme
qui, à lui seul, a sauvé, en payant de sa vie, une trentaine de participants au
Festival NOVA.

Je voudrais insister sur la visite du KIBBOUTZ NIR OZ qui a payé le prix fort lors du
pogrom du 7 octobre.

Accompagnés par des rescapées, nous avons parcouru les allées où l’odeur des
cendres et de la mort règne encore.

Un passage devant la maison de la famille BIBAS a fait monter des larmes à
nombre d’entre nous.

La visite de ces lieux qui furent la vie, la fraternité, l’espoir donne toute la
dimension de ce pogrom aux relents génocidaires puisqu’il s’agissait de tuer les
habitants parce que juifs, ces mêmes habitants qui n’avaient de cesse que de
favoriser l’aide aux Gazaouis.

Ils ont subi l’horreur absolue, enfants tués devant leurs parents, femmes
violées, habitants brûlés dans leur maison et tant d’autres carnages dans un
bain de sang sans équivalent depuis la SHOAH.

Au milieu de cela, les rescapées qui nous accompagnaient, nous ont montré
une force et une volonté en racontant ces effroyables histoires, trouvant sans
doute dans leur dénonciation un chemin de résilience, cette même résilience
que nous avons pu admirer tout au long de notre séjour.

Malgré ce traumatisme sans égal, l’avenir fut même évoqué.

Nous avons emporté avec nous le témoignage de ces mémoires qu’il nous faut
relayer encore et encore face au négationnisme qui sévit dans nos démocraties.
Tout ceci nous oblige à poursuivre sans faille nos combats, en particulier au sein
du MPCT, un acteur de la lutte contre le terrorisme.

____________________________________________________________________________________

Ce 7 avril, le MPCT soutient et participe au rassemblement organisé par Tous 7 octobre pour marquer les 18 mois de l’enlèvement, du calvaire, de l’esclavage et de la torture des otages. A la veille de la Pâque juive qui célèbre la libération des esclaves hébreux, la symbolique est forte.

4 avril 2017 : inoubliable Sarah Halimi


La longue marche, jalonnée de crimes, de l’antisémitisme

En octobre 2002, l’Express affichait en couverture « Le désarroi des juifs de France » et présentait un article complet sur les citoyen(ne)s de confession juive, confrontés à la montée d’un antisémitisme que l’on croyait relégué aux bas-fonds de l’Histoire, et à un silence « retentissant » d’une grande part du monde politique, médiatique, associatif et tout simplement de l’opinion publique.

Peu de temps après, l’éditorialiste Joseph Macé-Scarron publia dans Paris Match un éditorial suite à la profanation du cimetière de Herrlisheim où il dénonçait ce même silence et parlait d’un constat d’échec de l’antiracisme n’ayant pas su enrayer la propagation d’une haine capable de s’adapter à l’air du temps.

C’était il y a plus de 22 ans et depuis la situation n’a cessé de s’aggraver. C’est toujours un crève-cœur que de devoir refaire à nouveau la liste de toutes les blessures endurées.

Depuis plus de 20 ans, les chiffres du ministère sont toujours les mêmes : les actes antijuifs représenteraient un tiers des actes antireligieux alors que les français de confession juive ne sont que 1% de la population française. Avec en toile de fond des discours de haine antisémite diffusés à grands renforts de « réseaux sociaux » et émanant de mouvances telles que Egalité ou Réconciliation ou bien les Indigènes de la République. Des extrémismes que tout sépare, mais qui se retrouvent dans la haine du Juif et de la République française.

Depuis 20 ans, nous avons vu s’allonger la liste des Français assassinés parce que juifs et juives, à commencer par le calvaire d’Ilan Halimi, le « canari dans la mine », qui n’aura pas été « un signal d’alarme » comme l’avait tant souhaité sa mère dévastée par la douleur. Le massacre 6 ans plus tard de l’école Ozar Hatorah de Toulouse, où des enfants furent assassinés parce que juifs, n’a pas non plus réveillé une opinion publique, certes sans doute compatissante, mais hélas largement acquise à l’idée qu’il ne s’agissait que « d’un acte isolé ». Rares sont ceux qui, à l’instar de Pascal Bruckner, ont eu la lucidité d’y voir une « répétition générale » des moments d’horreur que nous allions vivre dès janvier 2015 (https://www.huffingtonpost.fr/actualites/article/mohamed-merah-rep)

Les terroristes islamistes s’en prennent non seulement « aux juifs, mécréants, et blasphémateurs » mais également à toute la population civile pour peu qu’elle soit présente dans un bar, une salle de spectacle ou un feu d’artifice. Et tandis que la liste des attaques islamistes et des victimes ne cesse de s’allonger, nous voyons se développer un discours de retournement victimaire plein d’empathie pour les terroristes qui sont décrits comme des « pauvres gars déséquilibrés » ou des « laissés-pour-compte d’une injuste société » et plein de mépris pour les victimes au mieux effacées, au pire accusées de l’avoir cherché.

Depuis plus de 20 ans, des sociologues, chercheurs, responsables associatifs et autres organisations veulent nous faire croire que l’origine des attentats c’est la France forcément raciste, la laïcité forcément islamophobe, la société forcément injuste, l’inconscient gaulois forcément « colonial », le covid, le cannabis, le chômage, les tweets de Trump et le réchauffement climatique, bref la terre entière est coupable…sauf le terroriste lui-même ainsi que l’idéologie islamiste jamais nommée en tant que telle.

Depuis plus de 20 ans, les lanceurs d’alerte sur la montée de l’islamisme radical et de son cortège de sexisme, homophobie, antisémitisme, anti-laïcité, haine des policiers, etc…sont aux mieux ignorés avec un mélange de condescendance et d’accusation fallacieuse (sur l’air de « vous faites le jeu de l’extrême-droite), au pire ciblés par des haineux qui les menacent de mort via les réseaux sociaux.


C’est dans ce contexte que s’inscrit l’assassinat de Sarah Halimi, dans la nuit du 03 au 04 avril 2017.

Tout est désespérant dans ce drame : l’inaction totale des 20 policiers présents sur place alors que Madame Halimi est rouée de coups pendant ¾ d’heure, la passivité du voisinage (personne pour aller secourir une vieille dame ?), l’indulgence de la justice sous prétexte d’« abolition du discernement »t l’insupportable impunité de l’assassin de Sarah Halimi, l’omerta médiatique pendant presque 3 mois. Le peu d’articles consacrés à cet assassinat en parlait comme d’un « drame qui émeut la communauté juive ». Faut-il comprendre le reste de la nation n’aurait pas à se sentir concernée car au fond les juifs de France ne seraient pas tout à fait français, comme l’insinua Raymond Barre et sa scandaleuse sortie au moment de l’attentat de la rue Copernic ?

Non ! L’assassinat barbare de Sarah Halimi nous oblige à continuer d’exiger que justice soit faite et que cesse cet aveuglement qui semble avoir gagné une partie de l’opinion publique. Que faudrait-il pour que se dessillent les yeux de nos compatriotes et qu’elles et ils comprennent que pour les islamistes qui “chérissent la mort” comme nous la vie et haïssent les valeurs que nous défendons, il n’y a pas d’un côté des « Français innocents » et de l’autre des « gens qui l’auraient un peu cherché » ?

N’hésitons pas à le dire haut et fort.

En 2004, Joseph Macé-Scarron terminait son éditorial par ces mots : « Les Juifs de France expriment à qui veut bien l’entendre une inquiétude réelle pour l’avenir du pays. Ils ont mal à la France et pour la France ».

21 ans plus tard, la douleur est encore plus présente, avec aussi l’espoir d’assister à un sursaut…mais pour combien de temps.

Thomas Dresler

Communiqué du MPCT : après l’agression du Rabbin d’Orléans


Le MPCT a aussitôt exprimé sa solidarité à la communauté juive d’Orléans après l’ignoble agression dont a été victime son Rabbin samedi 22 qui plus est devant son jeune fils dont on imagine le traumatisme.

Nous avons apprécié le courage du Rabbin Endelberg qui a su riposter et celui des témoins qui sont intervenus.

Au Rabbin Engelberg, à son fils, à toute sa famille, à la communauté juive d’Orléans nous adressons tous nos vœux.

Le jeune âge du suspect interpellé confirme une tendance particulièrement alarmante : la haine semée dans le coeur des enfants conduit à des passages à l’acte contre les Juifs, adultes et enfants.

Condamner cette agression ne suffit pas. Il faut tarir la haine antijuive/anti-israélienne qui l’a provoquée.

Le MPCT apporte son plein soutien à la marche organisée mardi 25 mars à Orléans par le CRIF et la LICRA mardi à Orléans en soutien au rabbin agressé et contre l’antisémitisme.

Départ à 18 heures de la synagogue d’Orléans pour rejoindre la place de la République.

19 mars 2012 : des petits enfants assassinés parce que juifs, point de bascule pour la France

L’attentat du 19 mars 2012 fracassa la France, sans que notre pays en prenne conscience.

Les ressources de l’INA ( Institut National de l’Audivisuel) pour l’EMC ( enseignement moral et civique) indiquent simplement
« Le 19 mars 2012, une tuerie a eu lieu devant le collège juif Ozar Hatorah, à Toulouse, faisant quatre morts. »

Or, pour la première fois, des enfants français étaient massacrés, parce que juifs, par un terroriste islamiste né en France : Gabriel et Arieh Sandler, assassinés avec leur père Jonathan qui tenta en vain de les protéger, Myriam Monsonégo, que l’assassin saisit par les cheveux et tua à bout portant.

Il déclara qu’il avait voulu venger les enfants palestiniens.

De fait il transposait en France ce qui était appliqué aux enfants juifs d’Israël. Un an plus tôt la famille Fogel avait été massacrée en pleine nuit dans sa maison à Itamar, le plus jeune des trois enfants, égorgé dans son berceau, avait 3 mois.

Le 7 octobre 2023 c’est à une échelle massive que ces assassinats d’enfants devaient se produire.

Avant de s’attaquer à cette école juive, Mohamed Merah avait assassiné trois militaires français les 11 et 15 mars : Imad Ibn Ziaten, Abel Chennouf et Mohamed Legouad.

Un quatrième soldat, Loïc Liber, fut grièvement blessé.


Resté tétraplégique, il lutte courageusement pour survivre et se reconstruire.

Il mérite toute notre solidarité.

Communiqué du MPCT : soutien au grand rassemblement exigeant la libération de Boualem Sansal

Immense écrivain, Boualem Sansal est aussi un homme engagé qui a toujours répondu présent aux appels à la solidarité pour les autres, en défense de la liberté.
Otage du régime algérien depuis 4 mois, c’est lui qui a besoin de nous à présent, à 80 ans !
Le MPCT participera et appelle à participer massivement au grand rassemblement organisé par le comité de soutien à Boualem Sansal le 25 mars.
Un seul mot d’ordre : libération !
Il y a urgence !

Communiqué du MPCT : Hommage à Ohad Yahalomi, urgence de faire libérer tous les otages du Hamas

Dans la nuit de mercredi à jeudi 27 février, un échange entre otages israéliens et prisonniers palestiniens a permis à Israël de recevoir les dépouilles de 4 personnes kidnappées le 7 octobre 2023.

Parmi elles figure hélas, Ohad Yahalomi, 49 ans, le dernier otage franco-israélien.
50 de nos compatriotes ont donc été victimes de la barbarie des islamistes du Hamas.

Le MPCT exprime tout son soutien à la famille d’Ohad Yahalomi.

Le message du Président Macron est peut-être sincère, il ne saurait masquer le manque flagrant de solidarité depuis ce funeste 7 octobre, tant de la part de notre diplomatie que de la société civile.

Ohad Yahalomi était du même kibboutz que la famille Bibas, Nir Oz, un des plus durement frappés le7 octobre.

Son corps a été restitué le soir même de l’inhumation, si bouleversante et si digne des enfants Ariel et Kfir Bibas et de leur mère Shiri.

Tous trois sont devenus le symbole autant de la haine mortifère du Hamas que de l’effroyable régression morale assimilant des enfants en bas âge à des « prisonniers », voire des « colons » et des djihadistes assassins à des « résistants ».

Une faillite quasi civilisationnelle a atteint jusqu’à certains de nos députés qui n’ont plus aucun scrupule à reprendre les éléments de langage d’une organisation criminelle.

Oui, Monsieur le Président, comme vous l’avez écrit, la barbarie du Hamas doit prendre fin !

Et vite !

La mère de l’otage Alon Ohel, qui doit avoir 24 ans lundi, a lancé un appel poignant.

Les témoignages d’otages libérés permettent d’affirmer que son fils est vivant mais détenu, avec d’autres, dans des conditions atroces. Il est attaché, affamé, privé de soins alors qu’il est grièvement blessé.

Sa libération immédiate et inconditionnelle, celle de tous les otages du Hamas encore en vie, la restitution immédiate des morts, telle est l’exigence à formuler pour faire cesser cette barbarie. La voix de la France doit la porter avec force à l’ONU, auprès des négociateurs qataris qui peuvent et doivent faire pression sur le Hamas, comme auprès de la Croix-Rouge.

COMMUNIQUÉ : NON à la venue de Salah Hamouri à Fontenay-sous-Bois !


Le Mouvement Pour La Paix Contre le Terrorisme

L’association Tous 7 octobre de Fontenay

La communauté de Beth Chalom

appellent à un rassemblement pacifique pour dire NON à l’invitation de
Salah Hamouri, individu lié à une organisation terroriste.

Rendez-vous mercredi 5 février 2025 de 19h à 20h 30
Devant la Maison du citoyen et de la Vie associative

(16, rue du Révérend Père Lucien Aubry – 94120 Fontenay-sous-Bois)

La libération d’otages israéliens – en échange d’assassins condamnés – vient de donner lieu à des scènes révoltantes à Gaza.
L’angoisse grandit quant au sort des nombreux otages restés aux mains du Hamas, en particulier les petits enfants Kfir et Ariel Bibas.
A un tel moment, la venue d’un partisan du FPLP, organisation complice du Hamas, est une provocation insupportable.

Venez nombreux pour défendre nos valeurs républicaines et dire :

Libération de tous les otages du Hamas !
NON à la banalisation du terrorisme, NON au racisme et à l’antisémitisme !
OUI au débat démocratique et au vivre ensemble !

Contacts presse
MPCT : 0666264223
Tous 7 octobre Fontenay : 0635456388
Beth Chalom : 0767939888

Dernière minute : Communiqué officiel du 5 février 2025

La manifestation a été initiée par le MPCT, Tous 7 octobre et Beth Chalom. Elle repose sur un engagement citoyen et non partisan.

Nous avons été informés que le parti Reconquête appelle à manifester contre la venue de Salah Hamouri à nos côtés. Si chaque citoyen est libre de se mobiliser, nous refusons absolument que cette manifestation soit récupérée par un parti politique, quel qu’il soit.

Notre initiative ne doit en aucun cas être détournée de son objectif initial.

Nous appelons donc chacun à respecter l’esprit de cette mobilisation, le refus de la banalisation du terrorisme, du racisme et de l’antisémitisme et à s’abstenir de toute tentative de récupération politique.