Iran : sauver deux nouvelles victimes du délit de blasphème !

{{On ne badine pas avec la corde en République Islamique d’Iran : 182 pendaisons ont déjà été répertoriées depuis le début de 2017 !}}{{Des exilés iraniens attirent à présent notre attention sur le cas de deux personnes, innocentes de tout délit au regard du droit international mais condamnées à mort pour leurs idées, qui risquent d’être exécutées, Sina Dehghan et Marjan Davari. }}-{{La Cour suprême iranienne a confirmé la condamnation à mort de Sina Dehghan.}} Agé de 21 ans, il a été arrêté par les terribles Pasdarans en octobre 2015 et déclaré coupable d’« insulte envers le Prophète Mahomet » pour des écrits sur Internet. Les regrets qu’il a exprimés n’y ont rien changé, il est voué à la mort.- {{Marjan Davari, arrêtée en septembre 2015, a été condamnée à mort pour adultère, collusion contre le régime et appartenance à la secte religieuse Eckankar.}}Agée de 50 ans, elle est traductrice et chercheuse, spécialisée en métaphysique et spiritualité.Ces deux condamnations à la peine capitale ont été prononcées dans le cadre de simulacres de procès où la défense des accusés n’a pas la moindre place.Rappel : l’article 262 du code pénal islamique stipule que ceux qui insulteront Mahomet ou Allah seront exécutés. (1){{Pour sauver Sina Dehghan et Marjan Davari, sortons les de l’anonymat !}} Merci de relayer ces informations sans tarder.HCM(1) L’article 263 le modère cependant : il prévoit de commuer la peine de mort en 74 coups de fouet dans le cas où le défendeur admet que son insulte n’était qu’une réaction de colère.