Le mouvement Bring Back Our Girls a présenté le 30 septembre une importante déclaration lors d’une conférence de presse internationale convoquée pour marquer les 900 jours depuis l’enlèvement des lycéennes de Chibok. Très critique envers le Président Bouhari dont il souligne les contradictions et l’inaction, il demande aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et à la France, membres du Conseil de sécurité de l’ONU, de collaborer activement avec le gouvernement fédéral du Nigeria pour mettre en oeuvre le sauvetage des Filles de Chibok. V.W.Photo : Obiageli Ezekwesili, une des principales dirigeantes de Bring Back Our Girls