A lire : le dernier article de Martine Gozlan sur la Tunisie

Le procès du courageux Doyen de la Manouba est reporté au 25 octobre. Pour mieux l’abattre. Les autorités tunisiennes espèrent sasn doute que celles et ceux qui témoignent leur solidarité à Habib Kazdaghli seront démobilisés d’ici là. Elles se trompent, nous sommes avec lui pour affronter l’été et la Rentrée. {{Dans un remarquable article intitulé {La déshumanisation guette la révolution tunisienne,} Martine Gozlan sonne l’alarme dans Marianne, en rendant compte de la journée du 5 juillet}}. [http://www.marianne2.fr/martinegozlan/La-deshumanisation-guette-la-revolution-tunisienne_a44.html->http://www.marianne2.fr/martinegozlan/La-deshumanisation-guette-la-revolution-tunisienne_a44.html]Extraits : {“L’acharnement du tribunal tunisien contre Habib Kazdaghli en dit long. C’est le salafisme contre lequel il s’est défendu, ce sont les poignards réels des talibans maghrébins qui entendaient égorger le savoir et ses représentants – souvenons-nous de l’horreur algérienne des années 1990 !- mais ce sont les faux avocats du droit qui accusent les victimes de la terreur de terroriser leurs bourreaux ! …. Tout se tient, un fil rouge court des Frères féroces – comme la grande romancière algérienne Latifa Ben Mansour qualifiait les Frères musulmans- à leurs djihadistes amis. … la révolution est morte, assassinée par l’islamisme qui fait chaque jour la preuve de son allergie pour la démocratie. Cessons donc de répéter niaisement qu’elle est le bien absolu et qu’il lui faut du temps. C’est sa résurrection, aujourd’hui, qui importe, à travers la défense des vrais démocrates tunisiens, fils du droit, des humanités et des lumières.”}HCM