{{Pendant tout l’été le discours dominant sur la guerre Israël-Gaza a été marqué par les accusations les plus graves portées contre l’armée et le gouvernent israéliens, combinées au silence quasi total sur les activités terroristes du Hamas.}} On s’est gargarisés du cri “Israël assassin” en dénonçant des “massacres de civils palestiniens”, des “crimes de guerre”, des “crimes contre l’humanité” et même un “génocide” . Médias et ONU ont repris en coeur la propagande du Hamas selon laquelle “la grande majorité des victimes gazaouies sont des civils”, femmes et enfants innocents. A qui pouvait-on faire gober que des civils soient à même de tuer 64 soldats suréquipés, de tirer des centaines de roquettes et de creuser des tunnels d’invasion ? Et pourtant ça a marché. On a tu la répression sanglante exercée par le Hamas contre sa population, l’utilisation cynique des civils réduits à être des boucliers humains, les tirs de roquettes à partir des hôpitaux des mosquées et des écoles. (C’est d’une école que serait parti le tir qui vient de tuer un enfant israélien, parabole tragique du sort réservé par le Hamas aux enfants, voués à être des cibles s’ils sont juifs, des “martyrs” s’ils sont musulmans) On a tu les menaces contre les journalistes étrangers empêchés de fournir une information impartiale et contre les humanitaires. {{Aujourd’hui, les lignes commencent peut-être à bouger. L’AFP a informé des dernières exécutions sommaires perpétrées par le Hamas. Des voix reconnaissent qu’on a peut-être eu tort de relayer les bilans de victimes donnés par le Hamas. Surtout, écoutons le cri de révolte d’un Palestinien, Mudar Zahran :”Hamas is killing my people”, {le Hamas tue mon peuple }: [https://www.youtube.com/watch?v=oJWWX0RtGAQ#t=28->https://www.youtube.com/watch?v=oJWWX0RtGAQ#t=28] }}Une voix à entendre d’urgence ! Huguette Chomski Magnis