Il sont cinq : Rachid Azzouz, Mazarine Pingeot, Philippe-Gabriel Steg, Mohamed Ulad, et Isabelle Wekstein. Ils signent dans le Monde.fr, une tribune qui fera date. Les enjeux sont clairement situés. L’offensive diplomatique de l’Organisation de la coopération islamique, pour la reconnaissance en droit international du crime de blasphème, prend place dans le contexte d’une double guerre à la fois interne au monde arabo-mususlman et d’intimidation des sociétés démocratiques occidentales.Extrait :{“Dans ce double conflit, toute politique d’apaisement ou de compromis avec le terrorisme, que ce soit celui de la pensée ou celui des bombes, n’est pas seulement une capitulation inutile, c’est un coup de poignard dans le dos des démocrates et des libéraux du monde arabo-musulman”.}Tout est dit !Pour lire l’intégralité de la tribune :[http://lemonde.fr/idees/article/2012/10/05/en-invoquant-le-blaspheme-c-est-la-liberte-qui-est-visee_1770778_3232.html->http://lemonde.fr/idees/article/2012/10/05/en-invoquant-le-blaspheme-c-est-la-liberte-qui-est-visee_1770778_3232.html]HCM