La Présidente de l’association DJAZAIROUNA des Familles victimes du terrorisme islamiste, partenaire de l’Alliance Internationale Contre le Terrorisme, écrit : “Je porte à votre connaissance, qu’à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes, un collectif de 15 associations de femmes voulait organiser à Alger, le jeudi 25 Novembre 2010 à l’hôtel Essafir une journée internationale contre les violences faites aux femmes, sous le thème “stop à la violences, les droits aux femmes maintenant”La journée se voulait un espace de réflexion et de partage d’expériences entres les militantes et militants des droits des femmes, et chercheurs, en Algérie et ailleurs, (de Tunisie, du Maroc, d’Espagne, de France, et d’Italie) sur les violences à l’égard des femmes afin de sortir avec des propositions de lois à même de protéger les femmes. Malheureusement, un refus de la part des autorités nous a été signifié la veille de la manifestation, empêchant encore une fois les Femmes algériennes de s’exprimer”. Elle conclut ainsi cette lettre à laquelle nous apportons notre soutien : “Madame la rapporteure, Nous comptons sur les moyens de pressions que vous confèrent votre statut à l’ONU pour exiger des autorités algériennes des explications, que l’Algérie doit à ses engagements internationaux”.Huguette Chomski Magnis