Réagissant à l’annonce de la décision du Kenya de cesser tout jugement de pirates arrêtés dans les eaux internationales, le Professeur émérite David Ruzié montre comment l’incapacité de la société internationale à lutter contre le fléau grandissant de la piraterie maritime explique sa carence devant le terrorisme.Rappelant que la mer a été le berceau du droit international, il souligne le manque de volonté de la communauté internationale de faire face au problème de la piraterie, qui sans être identifiable au terrorisme politique peut lui être lié, voire inféodé.Ainsi la France a conclu un accord avec le Kenya pour y faire juger des pirates qu’elle aurait arrêtés mais ne voudrait faire juger sur son territoire par peur de représailles.HCMPour lire l’article du Professeur Ruzié :[www.desinfos.com/spip.php?page=article&id_article=21582->www.desinfos.com/spip.php?page=article&id_article=21582]