Quand > -le sujet est tabou dans le débat, tant on a peur de froisser les assassins et d’être accusé d’avoir “provoqué” la mort des otages par son “intransigeance”> -quand la crainte de mettre nos concitoyens en danger conduit de fait à l’autocensure > – quand de grandes et puissantes ONG “implorent” les ravisseurs de laisser la vie sauve à des humanitaires> lâchement enlevés. > > il est au moins permis de se poser la question. > > Le terrorisme banalisé peut-il avoir raison de la liberté de nos choix politique et institutionnaliser l’humiliation ? > > L’enjeu c’est la survie de nos concitoyens et des autres otages. > > Mais c’est aussi celle des pays où les islamistes entendent réussir par la terreur à recouvrir la population de la burka obscurantiste, interdire tout enseignement émancipateur aux enfants et carrément toute éducation aux filles. > > L’enjeu c’est l’avenir du monde. > > A côté de ces questions, le débat, devenu si acerbe, entre les candidats à l’élection présidentielle, semble > étrangement décalé. Oui , c’est ça … Et on s’en fout du sort des afghans et en particulier des afgahnes …Qui en a entendu parler au cours de la campagne ?. Il y a même eu une polémique pour savoir si les humanitaires n’ont pas étté imprudents …Les terroristes ont semble-t-il bien compris comment ça fonctionne ;;: il y a probablement une bourse aux otages , avec des prix de marché en hausse Cela a-t-il un rapport avec le fait q’un otage soit paraît-il en voie de libération ?On ne peut que s’en féliciter et en m^me temps on donnerait -dans le cas de tractations – des éléments pour d’autres enlèvments ..